En hommage à P.J. de Béranger.
J'ai relu quelques poèmes de Dante et de Lamartine sur leurs amours perdues, et, la grenouille incorrigible voulant toujours se faire aussi grosse que le bœuf, je me suis risqué à l'exercice.
À mon vieux poète dont je suis peut-être la muse.
Une espèce d'éveil à la vie toujours recommencé.
Petite chanson sur le retour de l'envie d'écrire.