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Cristale
21/5/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un récit qui nous plonge dans la mémoire de la pierre, l'émergence du vivant dont les fossiles transmettent le message depuis la nuit des temps.
Ici la Terre nous parle-t-elle du temps d'après le règne du monde humain ? Parce qu'avant l'humain la pierre abritait déjà des fossiles. J'ai du mal à situer l'histoire mais cela ne change rien à ma perception du poème. Des tercets fluides en lecture étirant le propos un peu sèchement tels des faits énumérés. Il est vrai que la matière de la pierre est relativement sèche. Bonne chance pour le concours ! |
Geigei
21/5/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Le propos est mystérieux.
À part "Dans le soir de l'univers,", je n'ai pas trouvé le thème de l'anthropocène. Je n'ai pas compris la construction de ce passage : "Transmuer en signe éternel, L'affinité depuis si longtemps incrustée, Restitue la voie et le règne." Perplexe... |
papipoete
15/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour concurrent
Nous voici transportés au temps immémoriaux, là où des ancêtres se sont gravés à jamais dans l'ambre, et les fossiles aujourd'hui racontent... NB un texte fort spirituel, que j'aurais bien vu déclamer " façon haïkus ", pour peu que les phrases n'aient point de verbe. la 4e strophe a ma préférence |
Cyrill
15/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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La mémoire des « pierres sans promesse » chantée en aria, belle entrée en matière. J’entends l’écho, je perçois déjà l’inaccessibilité du minéral comme du présent propos.
La pierre ne se laisse pas déchiffrer facilement, il en est de même pour ce texte tout en propositions évasives. Le langage est répétitif : vécu, vie, survivance, vie, vivant. Est-ce volontaire ? Pour ma part j’en ressens comme un frein à l’imaginaire, une légère impression de tourner en rond. Ou en ellipse, qui sait. Les formes passives et pronominales maintiennent une certaine distance avec le lecteur. Peut-être ce temps long auquel l’humain a si peu accès et cherche parfois à oublier pour se contenter de son présent. Le poète lui intime alors d’écouter. Idiome, chiffre, adages, signe : le champ lexical entretient l’hermétisme. Je sors de ma lecture un peu frustré, mais je tempère : ce poème intrigue par son côté vaporeux et laisse quelques poussières géologiques en suspension dans l’âme, ce n’est déjà pas rien. merci pour le partage. |
Robot
15/6/2025
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On perçoit bien une recherche poétique dans la construction de ce poème libre. Ce texte vient nous dire que c'est de l'inerte que naît le vivant.
Une écriture toute en symbole dont le déchiffrement nécessite un effort de recherche et de compréhension. |
BlaseSaintLuc
15/6/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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La lecture s'avère assez laborieuse, même si l'on ressent une certaine poésie ; il est clair que cela peut devenir lassant !
Maladresses et approximations, le désordre au cœur du désordre. |
Boutet
15/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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"Une pierre est imprégnée de souvenirs géologiques et historiques ". J'aime beaucoup l'incipit de Andy Goldsworthy qui invite le lecteur à lire la proposition de l'auteur(e). Ces tercets et le quatrain final ne manquent pas de charme et de poésie. Oui, l'histoire de l'humanité est gravée dans la pierre.
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Myndie
16/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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L'incipit comme premier indice.
A mi-chemin entre la science pure et la magie, la mémoire des pierres (« chiffre griffonné dans le fossile ») nous est acquise depuis la nuit des temps, tout comme l'est pour certains leur pouvoir thérapeutique, cette antique médecine. Ainsi pourrait-on croire ou espérer que ces pierres, pourtant « sans promesse », soient plus que la mémoire de la terre : la solution , le minéral guérisseur ? C'est un cheminement de pensée qu'il m'a plu de suivre ; j'en rends grâce à cette poésie sibylline. |