Symbolisme, quand tu nous tiens…
Écrit après la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris.
Un peu de douceur ? Non ?
« Les guerres sont des mangeuses d'hommes. Pourquoi, y a-t-il des guerres ? » Vous avez quatre heures.
Ma vie est un nuage…
Quelques jours ordinaires.
Comment présenter sa flamme en parlant de poissons.
Suite à un malaise cardiaque, peut-être mes derniers mots…
Un poème dédié à une amie artiste peintre.
Tantôt l'une, tantôt l'autre, tantôt ni l'une ni l'autre.
Rien n'est aussi fort que le besoin de changement, sinon peut-être la peur du changement.
Les chemins sont multiples : terre, air, mer et éther, pour une bouffée d'air frais, de nature et de spiritualité.
Poème inspiré par un âtre au cœur de l'hiver.
L’homme doit le respect à toutes créatures. Où quand la bête sauvage vaut mieux que son bourreau.
Sur ce qui nous manque et que l'on ne pourra jamais retrouver ni même revoir.
Le monde nous fait peur, ses ombres sont terribles.
Fable.
Enfermé, je ne voyais que le ciel.
Parfois je prends un couteau et je dessine des spirales sur mon front avant de descendre le long de mon visage et de me poser sur ma joue rouge, encore !…