Chapeau !
De la nature à l'être humain,Quatre vers pour quatre quatrains.
Au « Vin de Paris » de Marcel Aymé, à Claude Autant-Lara qui sut somptueusement l’adapter, à Jean Gabin, qui férocement sut le dire.
L'avez-vous vue ?Attrapée ?
Ce poème est une méditation sur le passage de l'innocence à l'amère sagesse. Il est structuré en trois thèmes qui correspondent à un cheminement intérieur, allant de la naïveté joyeuse à la désillusion, puis à une acceptation plus profonde.
La jeune femme, au matin, devant la glace, en a fini avec la dépendance affective. C'est un nouveau jour, une renaissance.
Digitus impudicus.
Car il faut bien grandirC'est-à-dire vieillir.
Nous sommes conques vides.
« Les mots, comme les armes, partent parfois tout seuls. »Daniel Pennac
Pensée diffuse un jour de pluie.
L'âge où l'on attenden rêvant que l'ennui cessedure si longtemps.
Une horsaine signifie une inconnue, une étrangère.
Quelques semaines avant le départ de mon père.
Des fenêtres s’envolent récipients et vaisselles.
Poème préopératoire et cathartique, en quelque sorte.
Le Sacre du Printemps
Suite de Pays perdus.