« Or il s’arrêta au pied d’une grosse haie de ronces, de ces ronces aux feuilles rudes [...]. Je veux parler de ces belles grappes de mûres sauvages, toutes parfumées du voisinage des lavandes et des romarins. Te souvient-il comme elles sont appétissantes, noires sous les feuilles vertes, et quelle fraîche saveur, moitié sucrée, moitié vinaigre, elles ont pour les palais dignes de les apprécier ? »
Émile Zola
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