Ce poème m'est venu à l'écoute d'une chanson de Barbara, Souvenance (1959). Le rythme s'en inspire, quelques formules également. Il s'agit de la ballade mélancolique d'un homme vieillissant et constatant la folie d'un monde en plein bouleversement. J'imagine la détresse du dernier homme vivant ses dernières heures sur Terre.
Déclaration d'amour ou délire schizophrénique ? Une clé (qui est peut-être un passe-partout) : à qui peut-on dire sans mentir « depuis toujours je te connais » ?