Comme il est facile de rater sa vie…
En bref les E vexés tentent de se venger.
Tanguy.
Un péché capital qui aurait pu conduire à des propos scabreux mais n’inspire qu’un pudique sonnet estrambot s’attardant sur une poignée de chefs-d’œuvre du musée.
Voici une petite ode à Aphrodite sous la forme d'un sonnet.
Quand le réveil est enchanté par la nature…
Une scène au naturel vécue comme autrefois, quand il n’y avait ni clim, ni écran, ni sono pour tromper le spectacle apaisant de la nature.
Quand le ciel bas et lourd (Charles Baudelaire - Spleen)… d’air de terre et de feu. (André Breton - Union libre)
Les nuages couraient éclairés par la lune Dans la Divine Comédie, l’Enfer de Dante est un lac gelé.
Parlons-en justement… mais simplement, brièvement en oubliant le dérèglement… Mère nature est bonne fille, faisons-lui confiance ou pas ?
Pour Rabia.
(Pièce en iambes)Un antidote à l’hermétisme :Des propos anodins tenus chez le coiffeur, Repris sans le moindre snobisme Dans le secret espoir d’amuser le râleur.Dialogue de sourds quand seul l’un des deux parleEt l’autre écoute mais s’en fout.
Villanelle.
Un petit coup de blues ou de lucidité ? Ou celle-ci entraînant celui-là ?
« Mon chant est une chaîneSans commencement ni finEt dans chaque chaînonSe trouve le chant des autres. » (Victor Jara)
Le vide abyssal d’une disparition.
Blason.