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Provencao
7/7/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Mariel,
" La lumière du temps allume en la demeure Les reflets du passé, bizarre mascaret, Un chant s'élève alors, inscrit sur ce livret, Mais il cesse trop vite et la brise s'épeure." Belle clarté du temps démystifiant la lumière offerte sur ce livret. Ce miroir du temps, est une sublime et véritable pensée de l'espoir. Dans cet espoir qui colore notre jour en vos délicats vers s'associant à la docile cime de l’âme. Un véritable coup de coeur! Au plaisir de vous lire, Cordialement |
Boutet
7/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un sonnet classique qui ne manque pas de charme même si je le trouve un peu figé dans son corset.
Je ne comprends pas bien : la brise qui s'épeure. Les 2 tercets sont également assez hermétiques à ma compréhension même s'ils contiennent de beaux vers comme ce : La nuit offre une étoile à sa mélancolie. Un bon moment de lecture. |
papipoete
7/7/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Mariel
Le miroir, cet éternel accessoire, que l'on mire pour s'y voir, déroule le parchemin de notre histoire... Il peut être rassurant, tout comme nous terroriser, mais avec le temps, c'est en furtifs moments qu'il nous sourit l'ami charmant. Tel un " chardonneret fasciné par l'aurore et le ciel... " le miroir fait une pause, et bientôt nous renvoie dans le passé " comment me trouves-tu ce matin ? une ride, où ça ? Non, tu es beau encore et encore... " NB je crois que l'on se regarde chaque matin, comme si c'était la dernière fois ; mais ce cheveu blanc, lequel on ne peut coiffer, ah ma banane à l'Elvis, elle est où ? le poète nous conte ses lignes de belle façon, avec ce brin de mélancolie ( comme dans le premier tercet ) la seconde strophe a ma préférence, avec ce " mascaret " pour dire le passé. enfin, je " m'épeure " vient enrichir mon vocabulaire, et espère le placer un jour au sein de quelque octosyllabe. alexandrins au classique parfait ! |