|
![]() ![]() ![]() ![]() |
Lebarde
17/4/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
|
Un bel et original hommage au printemps ( difficile à faire sur un tel sujet) bourré d'associations de mots recherchées et d'images lumineuses qui créent une poésie certaine, mais dont l'abondance et la "complexité" peuvent nuire à la compréhension du propos qui en devient un peu alambiqué et pédant...trop c'est parfois trop mais la poésie accepte, je le sais, ce genre d'excès.
En fait je fais la fine bouche, par jalousie sans doute de ne pas être capable d'en faire autant, mais j'aime bien ce joli travail poétique pour lequel je m'étonne que l'auteur(e) n'ait pas osé revendiquer la catégorie classique. Une lettre oubliée dans la première strophe sera corrigée avant parution. En EL Lebarde |
Ornicar
18/4/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Assurément poétique.
Des images riches, des matières, des couleurs, des sons et des odeurs, des sensations, une écriture fluide et harmonieuse. On pourrait dire que c'est un poème de "saison" de plus. Ce serait injuste et un peu condescendant pour ce texte dont la construction ne doit rien au hasard. Ce fameux "printemps", saison qui est au début de tout, par laquelle tout finit par arriver, est fort bien amené et l'on n'en prononce le "terme" - le mot n'aura jamais été aussi adapté à la situation - qu'au tout dernier vers. Le titre ("éveil") est bien choisi car il joue, ainsi que le poème dans son ensemble, sur deux temporalités différentes : celle du rythme lent saisonnier et celle, plus rapide, de la journée avec l'accent mis sur ses premières heures ("petit jour","aurore", "la gloire du matin"). La surface de ce poème ("Comme un frémissement ondulé sur des eaux") est un peu à l'image de l'océan avec sa vague et sa houle qui obéissent chacune à un rythme différent. C'est très bien fait. |
papipoete
27/4/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
bonjour Stuart
Eh bien, en voilà un joli poème que Ronsard n'aurait pas renié ! Comment un jour se lève, et tout au long de la circonvolution de Râ, inspire l'auteur à travers des images plus belles les unes que les autres ! Nous avons des couleurs chatoyantes ; par ici des sons exquis à nos oreilles, et des senteurs de parfumerie ( bien loin de celles d'un barbecue ) Mais comme je le dis à qui veut m'entendre, - il faut voir certes, mais savoir regarder - entendre bien sûr, mais savoir écouter - sentir évidemment, mais savoir humer Et chaque strophe nous en montre les subtilités, que votre plume dresse sur un vélin de prairie. NB la 3e a ma préférence, quand la suivante fait tinter au loin un carillon ( hier, le bourdon de Saint Pierre de Rome nous serrait le coeur, mais j'aime aussi quand sonne le Glas en France... qui ne nous incite pas à songer à nos enfants sur le front... ) comme je le dis à nos maîtresse et maître du classique, le votre coulant comme paisible ru, semble si facile !! |
Boutet
27/4/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Un bon poème classique sur l'aurore et ses émerveillements. Dommage que le dernier vers
avec ce printemps en ne soit pas du meilleur cru mais l'ensemble est de bonne facture. |
Cristale
27/4/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Des reflets de corail, des arc-en-ciel, des horizons, des zoziaux, des ruisseaux, des p'tites fleurs sous le soleil palatin moi j'aime ça quand on en fait un bouquet poétique.
Versification réussie pour cette broderie d'orfèvre riche en couleurs. Oup's.... la sonorité du dernier vers... pas trop top ^^ (d'où ma note ; serai-je pardonnée de mon exigence ?) Sinon bravo ! |
Provencao
28/4/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour Stuart,
"Les trilles scintillants, que tissent les oiseaux Sur le velours soyeux d’un songe solitaire, Font au demi-sommeil, où mon âme se terre, Comme un frémissement ondulé sur des eaux" Mon préféré. Je me suis laissée enveloppée dans cette douceur ô combien légère et délicate... Un véritable bonheur de lecture. Au plaisir de vous lire Cordialement |