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Vincent
29/5/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Provencao
D'où viennent nos écrits, c'est en fait une des grandes questions Un mystère comme la vie, la mort, l'infini, l'univers, etc Peut-être bien de cet endroit convergeant J'adore votre style, ses interrogations |
papipoete
29/5/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Provençao
je ne serai pas hypocrite en me pâmant sur ces vers, qui me touchent, simplement par leur beauté que la plume de l'auteure semble promener sur la campagne, en plains et déliés pour initié ; j'en ai pour preuve, qu'en dessous de vos lignes, un artiste-peintre Vincent vous lit avec grand plaisir ! NB la dernière strophe tout particulièrement, me séduit alors que ses frères ont cet aura, cette majesté face à laquelle je reste béat... j'aime ce texte, que je ne saurais jamais écrire ( un peu comme une Porsche, qui m'éblouit mais dont jamais ne prendrai le volant ) je suis particulièrement heureux, de voir notre poétesse renouer avec le succès, depuis ce début d'année alors que les ans passés furent pour Elle en publications, parfois " morne plaine " |
Boutet
29/5/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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C'est un peu ce que l'on retrouve au dos des cartes postales anciennes, témoignages du passé.
En prose anonyme aux accents enjôlés. Une jolie poésie libre sur l'écriture qui traverse les ans. |
BlaseSaintLuc
29/5/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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C'est la magie des poètes, ils sortent des mots de l'ombre, comme un trèfle à quatre-feuilles, d'où vient il ?
Cet itinéraire silencieux, l'abandon du temps dans le creux de nos mains, coule comme de l'eau, rivière absolue de nos intentions, de nos rêves, l'écho de nos pensées. C'est une bonne question, merci de l'avoir posée. |
Dimou
29/5/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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"La poésie est tout ce qu'il y a d'intime dans tout"
À mon tour de citer Hugo ! Bonjour Provencao, c'est toujours un bonheur de parcourir vos poésies libres. L'écriture est ici personnifiée presque, elle "songe", quant à l'écrit il est d'un "apparat charmant", je suis d'accord ! vous offrez beaucoup de clés de lecture dans ce poème. C'est à l'intime dont nous faisons face. Vous vous posez humblement en "témoin" de l'inspiration. C'est une belle formule. "je ne sais d'où il vient" : personne n'aura jamais la réponse je crois. Moi je ne l'ai pas en tous cas. Bravo à vous. Belle fin de journée. À bientôt. |
Damy
29/5/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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« Offrande délicieuse à la virgule du retour,
Les lettres s’effacent en une impossible promesse ». J’aime beaucoup la délicatesse avec laquelle vous évoquez les relations complexes entre l’auteur et l’écriture, à la fois délicieuses, prometteuses et impossibles à dire. Le lecteur que je suis ne peut complètement ressentir les sentiments, les émotions, promenés par la plume toute en finesse dans « La balade du temps » qu’il faut pour effleurer la vérité. Merci Provencao Cordialement |
Cristale
29/5/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Provencao,
Un poème touchant et profond qui évoque la relation entre l’écriture et le temps dans l’intimité de la pensée, entre doutes et illusions, me donnant l’impression d’un voyage où chaque mot est une étape silencieuse. J’aime beaucoup, entre autres, ce quatrain final : « C'est un écrit solitaire, à l'apparat charmant, Je ne sais d'où il vient… Offrande délicieuse à la virgule du retour, Les lettres s'effacent en une impossible promesse. » Joli texte, beaucoup de délicatesse, comme toujours avec la poétesse, d’une plume qui semble à peine effleurer les lignes. Bravo et merci pour ce plaisir de lecture. |
ALDO
1/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Me permettrez-vous, Provencao, de ne rejoindre la balade
qu'à partir de la dernière strophe ? Dans les précédentes, je vois les mots, habilement placés, mais des mots... Dans la dernière cependant, quelqu'un s'approche. L'étranger semble avoir pour nous le message du pays de solitude. Qu'il ouvre la bouche et les voyelles impossibles s'effacent... Et nous ne saurons jamais rien du temps. Sauf peut-être qu'il n'est qu'une émanation de nous-même, et que nous le parons de charmes et de tristesses. Bravo |