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Dimou
4/6/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime beaucoup
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Un sonnet libre !!!
Bien trop de ponctuation pour moi, qui entravent, bien que choix de l'auteur qui est maître sur son oeuvre ou quelque procédé qu'il choisisse, un peu le rythme. J'ai pas pu complètement rentrer dedans donc. Je trouve beaucoup de poésie à cette pièce néanmoins, le coeur de l'Artiste, silencieux qu'il est, est dédale naturel au parcours envoutant. Il nous le livre sans nous le livrer, par des images calmes et connectées à l'essence poétique. L'Artiste mue encore. Le poème reste délectable et m'a plu. Merci du partage. |
Boutet
19/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un sonnet en poésie libre, c'est assez rare pour être noté mais on sent l'auteur, peut-être mal à l'aise avec cette forme inédite ce qui n'empêche nullement la poésie par ailleurs. Sauf que ces énonciations du premier quatrain, comme elles sont formulées gênent quelque peu la lecture.
L'imprévisible secret froisse les roseaux est le plus beau vers du poème à mon avis. Oui, plus je lis et plus je trouve le poème poétique mais encore plus à partir du second quatrain. Peut-être faut-il lire le premier (quatrain) comme une présentation de l'ensemble. |
papipoete
19/6/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Provençao
" ce murmure se faufile entre les roseaux "... pour moi qui connus l'approche de ce coin, où je me devais de poser ma ligne, sans faire de bruit, et attendre que mon flotteur ne plonge... que de moments pareils me furent donnés de savourer, ce calme de " l'imprévisible secret, foudroyante beauté, vol de libellule..." et le poisson se faisant suspicieux, me permettre de patienter longtemps, longtemps. NB une fois de plus notre poétesse, de sa délicate plume, transforme l'encre en peinture pour nous enchanter de sa palette. Et le sonnet, sans alexandrins tolère que des vers libres, coulant comme ruisseau joyeux, en peignent ces contours si harmonieux. Tout est éveil de nos sens, la vue et l'odorat, et l'ouïe quand un bruissement léger anime les parages. Je me suis retrouvé à la pêche, quand je tenais debout, immobile comme le héron sur la rive d'en face. La seconde strophe, bien que ses soeurs n'aient à rougir, me plaît particulièrement. Bravo à Vous ! |
Lebarde
19/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Provencao
Un joli sujet, une écriture élégante qui ne manque pas de poésie, un présentation sous une forme de pseudo-sonnet originale et inhabituelle, de quoi satisfaire le lecteur. Mais la métrique désordonnée qui casse le rythme, l'absence de rimes, quelques hiatus et e non élidés rappellent qu'il s'agit d'un poème en libre qui n'en demeure pas moins respectable et réussi. Pour autant je me laisse volontiers séduire. |
Vincent
19/6/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Provencao
Encore un magnifique tableau, j'y suis très sensible D'autant qu'il est teinté d'impressionnisme De touches symbolistes, ça me donne un rayon de soleil car mon horizon est bien triste en ce moment Quelle belle écriture |
Cristale
19/6/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Provencao,
Voici de bien jolis vers, comme si le regard de la poétesse cherchait à capturer un moment d'éternité dans la simplicité de la beauté éphémère de la nature. "la confidence flatteuse" et la "caresse ensorcelante" semblent dire que "La partition endormie", où je devine à peine une brise, invite à la méditation. Disons que c'est ce que j'entends dans ces lignes par ailleurs très poétiques où les cinq sens humains sont évoqués. Bravo et merci pour ce moment de grâce. |
jfmoods
20/6/2025
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Je n’ai point entendu vibrer ! Adjectivite
Carabinée. Images vagues qui s’empilent. Progression ? Émotions ? Rien ne palpite - Pas de rythme, pas de musique, pas de fil. J’ai recherché un pouls, une incarnation Dans ce tissu (sans âme, tiède, convenu). Et le vers 12, alors ? Soit ! Irritation ? Lassitude ? Nostalgie d’un beau fruit charnu ! Qui parle à qui ? De quoi ? Pourquoi ? Pour aller où ? Vide vertigineux : partition muette. Sonnet. C’est un sonnet ? Ah bon ?! Quelle ossature Spectrale ! Une syntaxe en apnée. Est-ce tout ? ----------------------------------------------------------- Non, décidément, non. En cette conjoncture, Je m’en vais retrouver le chant de l’alouette. |
BlaseSaintLuc
23/6/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Le secret du choix des mots, pour qu'ils touchent au plus profond, à la fin de l'envoi, même d'une simple escarmouche, ils touchent.
La libellule frôle le roseau et sur un fond d'ombres et d'ensorcelantes caresses, le simple silence recueille une lumière qui se veut immortelle. C'est l'imprévisible secret du choix des mots, là ou règne le vertige, je vous tire mon chapeau. |