Grand merci à tous les acteurs qui ont œuvré à la publication et à la vie de cette brève.
Je n’ai rien de particulier à dire en préambule au sujet de cet écrit. Sinon que l’intention, si intention il y a eu, s’est révélée à moi au fil de l’écriture, mais aussi à la lecture de vos commentaires, et c’est bien en cela qu’il sont précieux.

@ Myndie :
Je suis ravi, et même au-delà, que tu aies apprécié. Merci mille fois pour ton commentaire, si élogieux et juste pour ce qui est de la traduction. Je pourrais reprendre ces mots pour présenter le texte :
« sorte de dérive qui mènerait de la naissance, voire l'apparition de l'humanité tout entière à un exode sans fin, une divagation » mais «  je pense plus à une réflexion intime, puissante et hantée qu'à une condamnation aux enfers des Hommes ».

@EtienneNorvins :
Merci pour les qualités que vous relevez.
Je comprends fort bien toutefois l’impression de saturation que vous pointez. En dépit de ce risque, car je l’ai senti, je n’ai pas souhaité tailler dans les visions pour les rendre moins polysémiques, ni guider davantage la lecture. Un choix, je le sais, qui peut décourager quelques commentateurs et lecteurs, mais vous êtes néanmoins venu pour le dire et pas sans noter du positif.

@ Animal :
Merci pour votre commentaire.
Je n’ai pas entendu les « d’aucuns [crier] au génie » et ma foi tant mieux, ça pèse lourd le génie. De toute évidence ce n’est pas une lecture pour vous, et fort heureusement il y a largement de quoi se satisfaire d’autres genres dans le catalogue onirien. Mais vous avez bien résumé la chose, c’est à la fois intimiste et relativement délirant.

@ Don, merci pour ton si riche et pétillant commentaire qui fait la part belle au ressenti.
Le « monde selon ma pomme » : y en a pas vraiment. Ou alors ce serait un tableau, ou encore une partoche. Et si tu veux la jouer rapide tu peux, il n’y a pas d’indication de jeu. Je n’ai pas la pensée formatée pour la dissertation, alors Evinrude qui tâche de décoller sans savoir où ni comment elle atterrira me va pas mal du tout comme métaphore de comment ou pourquoi je suis parti dans ce « truc de fou ».

@ Papipoete, vous avez surfé sur la vague, à la fois musicale et picturale. Je ne demande pas mieux, pour un texte construit essentiellement sur ces critères, le sens étant laissé pour une grande part à l’imaginaire des lecteurs. Merci pour votre lecture sensible.

Vive la brève littéraire et au plaisir d’autres rencontres en d’autres lieux oniriens

Merci pour ce retour sur commentaires, Cyrill.

Au plaisir assuré de vous lire dans un autre genre car j'apprécie vos "bouts rimés".