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A propos des 100 mille petits soldats d'Iris
Onirien Confirmé
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31/03/2007 22:01
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Citation :
Pour le fond :
Un conflit éclate à cause d’une pomme. Qu'il s’agisse d’une fable, d’une parabole, ou d'un fait divers, le texte devrait continuer sur cette lancée. Un enfant vole une pomme. Le vieillard intervient auprès de la maman, laquelle habite le village voisin. L’enfant récidive. Nouveau conflit entre adultes. Et puis montrer comment par exemple, cela fait l’affaire des maires des deux villages, ou de riches notables, lesquels enveniment la situation et étendent le conflit aux deux villages. Mettre en parallèle les blessures (voire la mort) des uns et la richesse, le confort des autres. Et puis faire une réflexion sur des conflits internationaux provoqués par l’appât du gain. Mais passer d’un vol de pomme à une guerre internationale, non.

Pour la forme :
-Bla bla bla : ce n’est pas très heureux, je trouve que des points de suspensions suffisent
-« les arbres étaient occupés à profiter » : lourd et peu heureux : les arbres profitent, tout simplement
-« que la Vie suive son cours impétueux » : les adjectifs alourdissent souvent et affaiblissent presque toujours – « que la Vie suive son cours ».
-« qu’un arbre enraciné dans un jardin de l’autre côté de la frontière avait le malheur de déployer ses branches » : même remarque que plus haut, « l’arbre n’a pas le malheur de », non « malheureusement l’arbre déployait ses branches »
-« la mère du village d’en face » : j’ai un moment cru qu’il s’agissait du maire ; cette personne n’est pas la mère de tous les habitants du village, donc la mère qui habitait le village d’en face
-« Il n’a peur que d’une chose : revenir en vie… » : je suppose qu’il a peur de mourir, non de revenir vivant
-« Il s’en fout… il s’en foutrait toujours autant » : termes argotiques dans un texte qui n’en contient pas par ailleurs, donc cela choque.




J'aimerai réagir à ce commentaire, même si ce n'est pas mon habitude de critiquer mes lecteurs.
En fait Bidis (en passant je suis très heureux que tu ai lu ma nouvelle...), je crois que tu n'as pas compris ce que je voulais exprimer dans cette nouvelle. Je voulais montrer à tous l'absurdité totale de la guerre, et le confort le plus honteux où se cantonnent ceux qui la dirigent.
Tu me dis que cela semble très improbable que l'on puisse passer d'un vol d'une pomme à une guerre internationnale. Eh bien justement, c'est à cause de ce simple fait symbolique en soit ^^) qu'une guerre gigantissime va éclater.
Puis la pomme appelle la mort du père. La mort d'un seul homme à réussit à déclencher la première guerre mondiale ... si on veut faire le parallèle avec la réalité...


Et puis tu me dis que j'aurai dû mettre en parallèle "les blessures des uns et le confort des autres".
C'est ce qui s'est déroulé dans la deuxième partie... Tous les soldats vont mourir, alors que celui pour lequel ils se battent (Le Général En Chef Des Forces Armées De Terre), lui, va rester tranquille.

« Il n’a peur que d’une chose : revenir en vie… ». Oui, c'est exactement cela. Il ap eur de revenir en vie : il ne sait que faire de sa vie (quatres lignes plus haut) et cela lui plaît de mourir pour sa patrie (trois lignes plus haut).

Voilà. Il est vrai que je suis d'accord avec toi sur le point du vocabulaire lourd, c'est mon défaut, je le sais, mais je ne peux m'empêcher d'en rajouter toujours un peu...

J'espère que les autres lecteurs verront ces lignes, et que cela éclairera la nouvelle d'un nouveau jour (mais si il est nécessaire d'expliquer, je concède que la nouvelle a quelque chose de "raté"... elle devrait parler d'elle même...)

P-S : tu me dis que ça choque les termes argotiques, mais c'est ce que JE VEUX ! Je veux qu'on ai envie de frapper ce général quiva envoyer ces jeunes soldat à la boucherie...

Contribution du : 16/09/2007 12:09
_________________
"Dieu tombe goutte à goutte du ciel...
... et larme à larme de ses yeux"

V. Hugo
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Re : A propos des 100 mille petits soldats d'Iris
Maître Volubilis
Inscrit:
23/08/2007 09:09
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Auteurs
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Post(s): 22758
Hors Ligne
J'espère aussi que d'autres lecteurs donneront leur avis.
Je t'ai livré les commentaires que cette lecture m'a inspirés. Bien entendu, chacun reçoit un texte avec sa sensibilité et ses idées propres.
Les critiques des gens qui me font le plaisir de lire mes textes me paraissent parfois à mille lieues de ce que moi-même je reprocherais à mes propres textes. Mais je les écoute religieusement, parce que ce n'est pas moi qui rencontre d'éventuels lecteurs, c'est le texte qui est parti de moi et qui vis sa vie sans mon avis.
Cela devient un autre texte qui me revient... et je trouve cela très gai.

Contribution du : 16/09/2007 13:41
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