Merci aux membres du CE qui ont permis la parution de La Cité du désert, merci aux lectrices et lecteurs, aux commentatrices et commentateurs.
Je constate que « sont disparus » dérange, deux raisons à ce choix, éviter un hiatus et surtout, pour moi, « ex-homme du bois », l’arbre est un être vivant et l’auxiliaire « être » lui convient… Cela se discute évidemment.
Au sujet du dernier vers qu’Alexandre trouve un peu léger, j’estime que la disparition des enfants turbulents est symboliquement le plus important, ils représentaient l’avenir de ce village.
Bon week-end
Vincent

Bonjour Vincendix ! Après avoir relu mon commentaire, le jour où je l'ai fait, j'avais bien pensé que c'était pour éviter le hiatus que vous aviez écrit " sont disparus ", observation faite instinctivement, à l'oreille ... je n'avais rien modifié car j'étais curieuse de savoir s'il y avait une autre raison.

Merci encore à chacune et à chacun pour vos commentaires objectifs.
« Ma » cité envahie par le sable existe probablement, je suis allé au nord du Sahara où le phénomène d’ensablement est moins important qu’au sud mais j’ai tout de même constaté la crainte des sédentaires sous la menace d’un exode.
J’ai également pensé aux villes et villages dévastés par les guerres.
Il faut se souvenir que plusieurs villages du département de la Meuse massacrés par la 1ère Guerre mondiale n’ont jamais été reconstruits, j’ai connu un ancien habitant de Fleury profondément attristé par la disparition de ses racines.
Joyeux Noël à toutes et tous
Vincendix