... mais une émotion toujours intacte : merci.

Merci au CE d’avoir accepté l’insertion de Primal dans le catalogue des œuvres Oniris, en dépit du caractère souvent très cru voire brutal de son propos.

Merci à vous, Lebarde et Papipoète, d’avoir pris le temps d’un commentaire, en dépit du faible enthousiasme que le texte a suscité en vous. Merci particulièrement à Lebarde d’avoir « dénoté », ce qui a valu sans doute une plume supplémentaire – à laquelle ma vanité a la faiblesse d’être sensible. En retour, je citerai une poète à laquelle vous êtes beaucoup plus sensible : « [C]haque poème a sa propre voix et sa propre beauté, et il est toujours intéressant d’entendre différentes perspectives. » C’est la coexistence finalement si pacifique entre des inspirations si différentes qui font la richesse de cette communauté – In Varietate Concordia, en quelque sorte, à notre petit niveau…

Merci à vous, Eskisse (« un coup de maître »), Cyrill (« Le poème se vit plutôt qu’il se lit »), Ornicar (« De la poésie à l'état brut »), Don (« c’est du pur rock »), Myndie (« Quel plaisir de lecture ! »), Cat (« apothéose d'ecchymoses »), Provencao (« Sublime genèse par le Verbe »), M-arjolaine (« Complètement emportée ») et bien sûr Louis (troublant Maître ès exégèse poétique…), qui m’avez révélé que ce texte, pour moi douloureux comme un petit cercle de l’Enfer, pouvait receler des pans beaucoup plus lumineux – je suis sorti pantelant de vos retours ! …

Le temps me contraint à n’être que peu présent sur le site, mais l’horizon s’éclaircit un peu…

Belle fin de journée à vous tou.te.s