Bonjour,

Merci au comité éditorial d'avoir réveillé mon nu un dimanche matin :)

Pas grand chose à dire, le poème ne décrit que ce qu'il décrit, sans discours attenant. Un peu de merveilleux dans le monde urbain, comme dans d'autres poèmes lus ici. Le déroulement de cette bobine m'apaise, mais c'est tout subjectif.

Merci à Papipoète de s'être porté volontaire :) Il n'y a pas de référence à l'opéra ici, je n'y connais pas grand chose (le lien obscur doit bien exister car l'oiseau de feu de Stravinsky figurait dans Fantasia 2000 que j'ai vu plusieurs fois enfant. Mais le phoenix ici est loin de cet oiseau de feu-là).

Merci à celles et ceux qui liront ce poème à l'avenir :)

Merci de ce retour Volontaire.
Cordialement
Véronik