Merci au Comité d’édition d’avoir sélectionné mon texte pour l’inclure au catalogue d’Oniris, merci à tous les lecteurs qui ont pris le temps de me lire et double merci à celles et ceux qui ont pris la peine de commenter le texte.

Bonjour Myndie,

« La stratégie narrative est de mettre le lecteur en condition, de lui faire accepter l'imaginaire ». Exactement ça. J’aime votre résumé : « Et si ? », hélas très bien vu. En revanche je ne suis pas sûr d’être d’accord avec vous sur « un décalage salvateur avec le despotisme dystopique de la société qui nous est décrite ». Mais je peux vous avoir mal comprise.
Merci de votre lecture et de vos compliments, ça me fait plaisir.

Bonjour Salima,

La formulation que tu pointes, effectivement, est perfectible, j’aurais dû penser à « Pas sûr », bien meilleur puisqu’il rend aussi compte de « Je n’en étais pas sûr ». « Se faire trouer le haut de la tête, ça vous fout en l'air toutes les coiffures standard. » Rhôôô, avec un joli petit film bleu, ça passe, non ? Ce texte sort de je ne sais où, pour être honnête !
Merci pour ta lecture et tes compliments, Salima.

Bonjour Donaldo75,

Merci d’être bel et bien passé par là et d’y avoir trouvé ton compte ! Ton commentaire me fait plaisir.

Bonjour Luz,

Flatté, très flatté que vous ayez pensé à Boris Vian et Georges Brassens. Et oui, refusons le trouage ! Merci d’avoir lu et commenté mon texte, Luz.

Bonjour Provencao,

« où s'offre l'imaginerie d'une période déjà morte... » : je découvre un mot, merci, mais j’ai encore quelque difficulté à voir à quoi renvoie ‘une période déjà morte’ (ça ne m’empêche pas d’y trouver de la poésie). Merci de m’avoir lu et commenté, Provencao.

Bonjour Dimou,

Merci pour ce commentaire radicalement positif. Merci aussi pour le renvoi à Gates. On en est donc à la greffe de puce, comme pour les chats ?!

Bonjour papipoete,

Je relis votre commentaire pendant que vous répondez à votre notif.
En effet, on n’a pas attendu mon trouage de crâne pour marquer les corps, jeunes ou moins jeunes. Je voulais quelque chose qui se rapproche le plus possible, littéralement, de la lobotomie. Merci pour votre commentaire, papipoete !

Bonjour Laz,

et merci pour avoir pris la peine de revenir sur nos commentaires.
En revanche je ne suis pas sûr d’être d’accord avec vous sur « un décalage salvateur avec le despotisme dystopique de la société qui nous est décrite ».
A me relire, je trouve que sur ce point c'est moi qui manque de clarté!
En fait, ce "décalage salvateur" ne doit pas être pris au premier degré, ni dissocié de ce qui précède, il faut lui accorder aussi cette "haute valeur ironique" que j'ai décelée dans votre final.
Bon, mais je ne sais pas si je suis plus claire là

Merci de vous initier aux retours des commentaires.

À très bientôt de vous lire,
Cordialement

Véronik

Et du coup, je peux bavarder un peu ? Mettons, je peux te demander ce que tu penses de l'IA ? Je suis très intéressée par la question, et je cherche un interlocuteur. Heu... Mais si tu trouves que c'est hors-sujet, je comprends. C'est ton fil, c'est toi le chef.

@Myndie
Ok, j’ai raté le 2nd degré, au temps pour moi ! Merci d’être revenue dessus.

@Provencao
Je croyais être toujours revenu sur les commentaires, non ?
Je viens de vérifier, j’ai toujours posté un retour, mais peut-être trop succinct ?

@SalimaI
Je crains de ne pas être l’interlocuteur rêvé. Je ne pense que du mal de l’IA. Je pense que ses créateurs et promoteurs vont tout faire pour la rendre absolument indispensable pour des raisons, entre autres, de sécurité (ça a commencé en Chine avec la reconnaissance faciale de centaines de millions de citoyens) et de santé. Je crains aussi que la vitesse d’amélioration de l’IA ne soit exponentielle puisqu’elle se nourrit d’elle-même. Je me dis qu’il nous est impossible de prédire à quoi ressemblera le monde à très courte échéance, disons dans 10 ans. J’espère avoir tort.

@Veronik
En me relisant, je crois avoir employé un ton assez sec avec vous... Toutes mes excuses !

Cher Laz,
Faute de frappe ? Vengeance inconsciente ? Ou pire, fait exprès ??!!? Ah, la question me torture et je n'y trouve pas de réponse. Alors ? Ah, tu ne sais pas de quoi je parle ? Ou tu fais semblant de ? Hmm... Je parle de ton "Salimal". Enfin, Laz, sur un site de littérature, quel jeu de mot blessant pour mon ego, quelle humiliation en plein forum, j'en suis toute retournée. Si, si.
Tant pis. Changeons de sujet. L'IA, ça me rassure d'en parler. Je te trouve un très bon interlocuteur parce que je pense comme toi. Du coup, on risque pas de se friter. C'est quoi l'histoire entre la santé et l'IA ?
Et est-ce que tu penses reconnaître une "œuvre littéraire" ou une "œuvre musicale" produite par l'IA ?
C'est pas juste des questions en l'air que je te pose. Depuis qu'on en a parlé un peu plus loin sur le forum, je réfléchis à tout ça, écriture humaine et écriture artificielle, et je me demande ce qui nous différencie (pour l'instant, à ce stade de l'IA) et ça me donne envie de remplir mes nouvelles de tout ce qui est humain.
J'ai lu ta nouvelle "Troués" en EL et je savais de suite qu'elle était humaine.

Chère Salima,

Faute de frappe. D'ailleurs, ce n'est pas un L minuscule, mais un I majuscule. Quand je l'ai vu et ai voulu corriger, il était trop tard : le site n'accorde qu'un certain délai pour éditer. Maintenant, c'est vrai que je me demande ce que j'ai voulu taper à la place. En même temps, ça fait "aI", pas trop hors-sujet !
Je crois que je serais incapable de faire la différence entre un texte humain et un autre artificiel. Cependant, il m'est arrivé de voir un documentaire dans lequel la voix, toujours la même, sans accident d'intonation, et le fond - ça tourne en rond - puaient l'IA.

Du coq à l'âne, je sais, mais bon. On vient de fêter les 100 ans qu'aurait eu Frantz Fanon...

@Cyrill
Ben oui, on rafistole comme on peut, dans un sens ou dans l'autre, on s'ingénie à qui mieux mieux ! Merci Cyrill.