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Concernant Les Amants, la nuit et la fin de l'éternité
Onirien Confirmé
Inscrit:
17/10/2010 17:58
De Rez-de-chaussée
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Hors Ligne
Excusez moi pour le retard , les affres du quotidien et quelques empêchements personnels m'ont retenu.

Faisons le point.
Dans ce qui suit je vais tenter de répondre aux critiques ou aux questions posées .
je me veux chronologique mais il est aussi des fois où une réponse couvre plusieurs remarques venant de lecteurs différents;
je n'occulterais personne mais je ne me répèterais pas.

Les réponses me venant au fil de ma lecture , l'ensemble peut sembler un peu étrange.

Pour ce qui est de la critique concernant la longueur;

cette critique revient souvent et effectivement je vous l'accorde le format n'est pas conventionnel.
j'ai la candide idée qu'un poème peut parfois décomposer les aléas de la réalité alors j'en fais des tonnes .
c'est un défaut compréhensible.

je l'admet la longueur tend, concernant l'écrivain, à lui faire perdre aussi son rythme.

Concernant la ponctuation;
je ne m'en suis jamais servi,
j'ai plié à l'impression approximative qu'en ont fait les correcteurs, la ponctuation (inexistante dans mon original) vient d'eux et je les en remercie,
j'ai conscience de devoir m'y pencher car j'ai une vraie façon de « lire » ce que j'écris et j'ai du mal à le faire passer au lecteur.

Pour ce qui est des phrases arythmiques j'avais envie de donner une impression de brut et de plus « réel » peut-être au discours

quant aux phrases mystérieuses, il n'y a pas à chercher
il y a dans ce texte des niaiseries extraordinaires qui ne veulent rien dire, victimes d'un de mes nombreux penchants, la mièvrerie souriante.

la fin est bateau, mais j'affectionne sa sonorité, si je puis excuser ainsi son existence .

Pour répondre à l'impression des « feux de l'amour », je l'assume pleinement.
J'avais dans l'idée en présentant le texte qu'il restait dans ses recoins des morceaux niais et naïfs (pour ne pas dire mielleux)
c'est un registre, un registre s'adresse à un lectorat, par là même où je décide de m'en tenir à un certain registre et à y être fidèle je me ferme à un lectorat.
Je ne m'attendais pas à passer la publication.;
J'avais dans l'idée que mon écrit ne faisait pas très « sérieux » et que les avis de rejet me permettraient de peaufiner les profils des lecteurs de ce sites, et ce afin de me montrer sinon consensuel du moins moins hermétique dans le choix du registre.


Pour revenir sur la longueur, au-delà de l'accumulation j'ai une tendance fâcheuse aux phrases interminables, j'ai l'habitude de prendre les mots comme des instantanés, des flash à ne pas incorporer à un contexte mais à prendre comme une succession d'impressions censées définir un certain sentiment global.

Quant au passage où j'alterne du « vous » à « tu » c'est une superflue fantaisie de ma part;
les phrases avec le « vous «  me paraissaient plus esthétiques avec, et inversement.
Je ne me plie pas à une logique ni à un souci sémantique.

Comme dit précédemment les répétitions renforcent le contraste avec les jolies choses, même rares.

J'acquiesce dans le sens du « plus musclé » car sans être bâclé l'écrit avait besoin d'être ici renforcé mieux amené, ici plus élagué.
Comme je l'ai déjà dit mon intention était de par les aspects approximatifs ou négatifs (sur lesquels je rejoins la plupart d'entre vous) trouver les points d'amélioration afin de proposer quelque chose de plus abouti.


Effectivement l'écriture aura suivi une humeur et le flots d'un élan, d'où la maladresse et les « simplicités ».

je n'ai toutefois pas, ou dans une moindre mesure, cette idée que la poésie a un rôle synthétique.

Le titre s'accorde à son registre, candide.

« Amants » est en majuscule car l'ouverture est à mes yeux le « travail » le plus abouti de l'ensemble, que donc il ouvre le récit et qu'il tend à le porter, du moins sur son introduction.





Merci de m'avoir apporté.

Bien à vous.

Contribution du : 20/11/2010 03:01
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