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10/05/2011 21:46
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Bonjour à tous,


Peu convaincue de l’utilité d’une explication de texte (surtout dans le cas de ce texte), et surtout novice dans ce domaine, j’ai mis un moment à me décider à poster ce billet. J’espère donc que vous excuserez mes maladresses dans la rédaction de cette réponse.

Ne vous attendez pas à de grandes explications, à de grands commentaires sur la raison de l’utilisation de tel ou tel mot, de tel ou tel temps ; je serais bien incapable de vous éclairer car, d’une part, ce texte a été écrit il y a déjà quelques mois et, d’autre part, j’ai tendance à ne pas « réfléchir » lorsque des mots me viennent, de sorte que j’ai l’impression ne pas en savoir plus que les lecteurs de ce texte (ou plutôt, c’est en le lisant que je découvre certaines choses – je sais que ça peut paraître absurde -).

Je pense qu’il convient de considérer ce texte (ce gribouillage, ce – enfin le terme qui semble le plus approprié -) comme un extrait de journal intime et non réellement comme un poème. Il n’a pas été retravaillé et je comprends que l’on puisse lui reprocher une certaine simplicité et / ou une certaine naïveté.

Je tiens à vous remercier pour l’accueil qui a été fait pour ce premier texte tant du comité de lecture que des lecteurs qui suivirent. Je ne m’attendais pas à cela.

(Trêve de mots, passons aux choses sérieuses !)


socque – Je crois que j’ai voulu, par ce dernier vers, insister sur le temps. Ce vers est d’ailleurs moins long que les autres (et crée ainsi une cassure au niveau du rythme) pour montrer ce morcellement par le temps qui dévore tout sur son passage.


Pascal31 – Vous mentionnez ici un écueil intéressant dans ce genre de thème (et dans tout ce qui relève du thème amoureux selon moi) : la crainte de sombrer dans le pathos, le larmoiement etc. A la relecture, je craignais que ce texte ne soit trop sentimental.

Pour ce qui est des parenthèses, elles ont été introduites à la dernière lecture, juste avant d’envoyer le texte, pour séparer ce « mini-dialogue » du reste du texte.


wancyrs – En toute honnêteté, je ne m’étais pas rendue compte de ce passage à l’universel (à tout le moins, je ne l’avais pas analysé ainsi). Je crois qu’il résulte d’une forme de pudeur, de la volonté de ne pas utiliser la première personne du singulier, sans doute jugée trop « personnelle » (même si ce texte est très personnel, ce qui peut sembler assez paradoxal, j’en ai bien conscience.) Cependant, j’ai bien conscience que ce passage du personnel à l’universel puisse déstabiliser.


David – Je crois que l’absence de longueur de ce texte est en partie due au caractère évanescent de ce qui est décrit ici, du temps qui morcelle cette relation.


Lunar-K – Je n’avais pas fait réellement attention à la répétition de « perdu » (disons plutôt qu’elle ne m’avait pas « choquée » à l’oreille.) Après relecture, cela ne me choque pas tant que ça (même si j’ai tendance à ne pas apprécier les répétitions).

Pour ce qui est du moralisme, ce n’était pas réellement mon intention comme énoncé précédemment. Cela me semble plus être une tentative pudique d’éloignement du côté « personnel » (même si j’ai bien conscience que la frontière entre cet éloignement et l’universalité est très mince – voire inexistante aux yeux de certains). Néanmoins, je crois que cette distance était nécessaire pour ne pas tomber dans le larmoiement.


Charivari – Merci à vous d’avoir apprécié cette simplicité.


Rathur – Que de compliments ! Je ne sais que répondre si ce n’est merci. Mes chevilles vont gonfler, prenez garde !

(Je plaisante !)


Raoul – Merci à vous. J’ai essayé d’être la plus sincère possible dans ce texte (malgré cette volonté pudique d’éloignement) et si cela transparaît, ne serait-ce qu’un peu, j’en suis ravie.

J’espère avoir répondu à vos interrogations. Si tel n’est pas le cas, n’hésitez pas à me le faire savoir.

Encore une fois, merci à tous pour vos lectures (même silencieuses), vos commentaires et vos critiques (qu’elles soient « bonnes » ou « mauvaises » – et surtout « mauvaises » !)


Mourmansk

Contribution du : 21/06/2011 15:16
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