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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
Personnel, personnel, t'exagères un peu quand même, Cebo. Ce qu'il y a de personnel n'est rien que du très banal. Hélas, peut-être. Mais bon, y a vraiment pas de quoi en faire un oedème.

Merci pour ton com. Lorsque tu y dis que "Paris en bouteille" a été encensé, t'exagères aussi. Il a reçu trois plumes, comme 85 autres textes, voilà tout. Et puis, il avait ses détracteurs, aussi.
Mais t'es vraiment salaud ! En attendant la pulication de "Des couilles en or", j'avais justement entrepris de remanier ce "Paris" pour le reproposer. Mais je me suis dit, finalement, que reproposer encore un machin de plus de 80.000 signes ce serait pas cool. C'est sans doute beaucoup et pas très adapté au format proposé ici. Les romans publiés sur Oniris n'ont pas beaucoup de succès, je crois, malgré l'effort que cela demande aux auteurs, correcteurs et autres intervenants.
Et toi, t'arrives là, en tongs et sifflotant, pour me dire que tu voudrais lire ce "Paris". Tu veux me faire tourner en bourrique ou quoi ?


@ Toc-art: Merci pour votre commentaire. J'y reviendrai, je crois.

Contribution du : 15/10/2011 22:49
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
Toc-art, merci donc pour votre commentaire. Je ne l'ai pas trouvé plus ou moins dur que d'autres. Je le trouve emprunt d'une certaine bienveillance et même flatteur.
Ce qui est dur, c'est d'écrire un texte pendant des mois, d'avoir le sentiment d'avoir écrit un très bon texte et de se rendre compte, dès la publication (les premiers coms sont rarement contredits), qu'on s'est planté. Mais je ne serai ni le premier ni le dernier.

Je ne peux rien contredire vraiment de ce que vous avez écrit.
Ce que je peux en dire n'est donc pas une contradiction, ni même une justification, mais simplement une explication.

Sur le style, vous avez raison : c'est daté (bien que j'aie lu à peu près tout à ce sujet, y compris que c'était le style "à la mode"... comme quoi !). Il se trouve que j'aime ça. J'aime lire ça. J'aime écrire comme ça, surtout, beaucoup. J'y prends beaucoup de plaisir. D'ailleurs, je préfère écrire que lire.

Sur la question du pamphlet, je m'en suis expliqué plut tôt dans ce fil (post #6). Je reconnais que vous avez raison quant à l'hésitation à choisir entre différents genres. J'étais parti sur quelque chose de beaucoup plus tranchant, mais la misogynie que j'y aurais mis ne m'aurait plus du tout ressemblé et c'est là qu'est intervenue Madeleine. Si je travaille beaucoup l'écriture proprement dite, je me laisse plus aller sur le scénario. Je n'ai pas cherché à savoir pourquoi Madeleine disparaissait, comme je n'ai pas toujours eu le loisir de savoir pourquoi telle ou telle personne disparaissait de ma vie sans traces ni explication.
Pourquoi Madeleine dans ce récit ? Je ne le sais peut-être pas plus que vous. Comme je l'ai écrit, c'est davantage inconscient que réfléchi, mais je crois que Madeleine est venue à l'Est pour éprouver son espoir. Elle tombe d'abord sur Pierrot qui imagine être un type qui refuse les fatalités, mais qui n'est en réalité qu'un gros désabusé qui n'a rien de positif à lui offrir. Elle tombe ensuite sur Frédo qui est, lui, un gros macho qui ne prend de Madeleine que ce qu'il peut en prendre sur l'instant. Du coup, Madeleine prend également de Frédo tout ce qu'elle peut en tirer et s'en va retrouver le contingent de celles qui ont renoncé à trouver quoi que ce soit auprès des hommes. Pierrot prend conscience de sa bêtise, mais c'est trop tard, car j'ai remarqué que dans ce domaine il y avait rarement une seconde chance. Je n'ai pas voulu tirer les fils de cette histoire pour en obtenir la fin qui m'aurait convenu.
Quant à Eugène, j'y ai pensé, figurez-vous ! J'ai même failli placer "On doit fermer chez Eugène", mais je me suis abstenu.

Sur la longueur, en particulier du début, vous avez encore raison. Je me laisse déborder par le plaisir d'écrire. Et puis, j'ai voulu installer calmement les personnages de Pierrot, Frédo et Gégé. Nous ne sommes pas, là, dans de la nouvelle.

Sur les "facilités", ma foi, je n'ai pas envie de me prendre tout le temps au sérieux et quelques saillies potaches viennent me rappeler à l'ordre. J'y ferai davantage attention.


Je garde de votre commentaire essentiellement son caractère encourageant.

Contribution du : 16/10/2011 01:02
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Maître Onirien
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Au pire, tu fais tourner le texte du côté de ma boîte mail ;)

Contribution du : 16/10/2011 04:25
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
Bonjour Meleagre,

Merci beaucoup pour votre commentaire.
Puisque vous évoquez le style et l'apparition de Madeleine, j'en profite pour signaler que Madeleine a une influence importante sur certaines composantes de ce style, dans la grammaire et la conjugaison.
Après l'apparition de Madeleine, il y a une rupture brutale : contrairement à ce qui précède, il n'y a plus aucune élision de négation dans la composante narrative (sauf une que j'ai malencontreusement laissée traîner, je crois), bien que ces élisions subsistent dans les dialogues. Une phrase du texte, dans un dialogue, vient le confirmer : La manière que vous avez de parler à tout pour m'extraire très heureusement du langage de charretier qui fait mon quotidien parmi mes camarades de jeu.
Après la disparition de Madeleine, le passé simple fait son apparition.


Je note qu'il y a eu 1,5 liseuses/commentateuses pour ce texte (Socque et Monlokiana (pour moitié)).
S'agirait-il d'un texte "masculin" ?

Contribution du : 17/10/2011 12:57
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Re : À propos de "Des couilles en or"
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La gent féminine ne doit pas approuver ta thèse... Le temps des amazones est un mythe littéraire.

:)

Contribution du : 17/10/2011 13:08
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"L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête."

Blaise Pascal
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
Et c'est maintenant que tu me le dis !
J'aurais pu participer à ce concours, alors ? C'est bête.

Contribution du : 17/10/2011 13:40
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
Bon, c'est pas que je veuille tenir le crachoir, mais j'ai oublié quelque chose d'important.

Citation :

Brabant a commenté :

A un autre moment j’ai eu l’impression que ton héros principal était très proche de Bérurier, pour ne pas dire Sa majesté le gros dégueulasse Béru en personne, pas le gros dégueulasse de Reiser tout de même ! Est-ce voulu ? Je crois que oui.


Ah non, c'est pas vrai, ça va pas recommencer ?
On m'a déjà soupçonné de pomper le Dard. Je l'ai déjà dit pourtant, que ça m'intéressait pas ces trucs là.

En revanche, c'était pas si bête quand même, tu t'es juste trompé de gros dégueulasse. Moi, je penserais plutôt à celui-là.

Contribution du : 18/10/2011 18:34
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Maître Onirien
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Oui, il est carabiné aussi celui-là ! J'aime assez ses bouquins. Pas trop le bonhomme !

Alors que Dard était un gars bien... et Reiser item.

Contribution du : 18/10/2011 19:38
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Blaise Pascal
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Re : À propos de "Des couilles en or"
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@Inco:
Citation :
On m'a déjà soupçonné de pomper le Dard. Je l'ai déjà dit pourtant, que ça m'intéressait pas ces trucs là.

Faut pas être si définitif. Qui sait, tu te prives peut-être de grandes sources de joie ?

Contribution du : 18/10/2011 20:07
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Re : À propos de "Des couilles en or"
Visiteur 
"Je ne suis pas un être de joie."

Louis Ferdinand Céline, Entretiens à Meudon avec Louis Pauwels, 1961.


Contribution du : 18/10/2011 20:50
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