Dans ce poème je retourne dans cet endroit où commencèrent de ces belles amours adolescentes, de celles là ou la passion, la naïveté nous font croire à l’amour éternel

Des décennies plus tard, le décor est présent, mais la magie est perdue, je la cherche pourtant dans ces Alliers jeunes, ces rotondes mortes (Langeac)

Je crois qu’il faut lire ce texte d’une voix sourde, très introvertie ou les deuxième vers des quatre première strophes claquent comme des flashes

La dernière strophe est en quelque sorte un rappel au présent, et la douleur de ceux qui se prêtent au jeu de la mélancolie… en guise d'avertissement

'hé ! j'avais flashé et clashé !

:D

je ne pense pas que la dernière strophe n'a pas sa place, en revanche et je sais pas le faire ici, dans la version de mon ordinateur, cette strophe est décalée, en caractères plus petits et italiques
si les modérateurs acceptaient d'apporter cette petite rectification cela pourrait être intéressant

mettre en abime, ces souvenirs un tantinet naïfs, comme cela à été relevé et la révélation soudaine a l'auteur de la froideur de ces souvenirs qui semblaient si estivaux...

Ce sont les correcteurs qui peuvent modifier les textes publiés, ils ne liront pas forcement ce sujet, il faudrait en ouvrir un autre ici :

http://www.oniris.be/modules/newbb/viewforum.php?forum=10

Donner le lien vers le texte et indiquer la modification à apporter.