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Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Bonjour et merci aux commentateurs l’Arrivée d’Amandine !

Une fois n'est pas coutume, j’envoie un post sur le forum et publie les remerciements et les remarques.

D’une manière générale, à part Brabant qui s’approche le plus du sens global de ce puzzle, chacun d’entre vous n’a compris qu’une ou plusieurs parties du texte sans les articuler et trouver la logique qui les traverse.

Le texte est d'autant plus perfectible qu'il n'a pas été compris et je suis preneur de suggestions d’amélioration, cependant je peine à trouver pour le moment une critique adaptée qui me permettrait d’ajuster la réalisation au projet. On ne peut critiquer un texte que si on le comprend, sauf si la critique tombe sur l’intelligibilité même du texte. Le problème principal du texte est-il complexité ou son manque de clarté ? Est-il voué à demeurer incompris ou un prochain commentateur, le cas échéant, va-t-il en démonter et remonter les rouages ? pour finalement répondre à la question pertinente de Monsieur F : quelle est la finalité de ce texte ?

Ce qui suit contient des gâcheurs (spoilers) ***

De socque, je retiens que l’affaire du pistolet serait trop longue et trop convenue l’exhortation à lire. C’est une critique tout à fait recevable, cependant ces passages, pour perfectibles qu’ils soient, ne sont pas gratuits.

Monsieur F, Amandine ne comprend pas le mot de syntagme, mais elle comprend l’essentiel de ce que dit son oncle. C’est pourquoi elle ne répond que sur ce qui l’intéresse. Quant à la mère qui parle à sa fille de 8 ans comme si elle avait 3 ans, c’est une donnée nécessaire pour que le texte fonctionne. Bien sûr, si le lecteur trouve que quelque chose n’est pas crédible et ne l’intègre pas dans la compréhension de sa lecture, il ne pourra pas voir la signification globale du texte. Cela fonctionne comme un syllogisme : tous les hommes sont immortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est immortel. Les prémisses sont fausses mais le raisonnement est logique. De plus, il y a une raison pour laquelle Stéphanie parle à sa fille comme si elle avait trois ans : elle a peur qu’elle ne grandisse et qu’en grandissant, elle ne tombe malade. C'est à la fois une fuite en avant et un cercle vicieux : les enfants à qui on parle bébé restent bébés et ne montrent pas à leurs parents qu’ils ont grandi et ceux-ci croient devoir s’adapter à leur immaturité ; du coup, Amandine ne reçoit pas la responsabilisation qui la conduirait à prendre conscience qu'elle doit manger équilibré. Mais grâce à l’espace de liberté d’expression ouvert par l’oncle Nicolas, Amandine va pouvoir s’exprimer le temps d’une rencontre, et changer la donne, pour elle, pour sa mère, pour le père et finalement pour l'oncle, par retour.

Palimpseste : comment avez-vous reconnu mon style ? Je suis étonné car j’utilise un style différent pour chaque texte. Aurais-je des marottes reconnaissables ? Merci pour la remarque concernant la différence entre un pistolet et un revolver, je vais me poser la question. Merci pour votre lecture.

Alvinabec, vous n’êtes le seul à trouver l’oncle trop didactique. Avez-vous l’impression agaçante qu’il s’adresse indirectement au lecteur et qu’il entend l’instruire contre son gré ? Et que c’est l’auteur qui s’adresse au lecteur via Nicolas et Amandine ? Ce serait alors une faiblesse structurelle du texte, car je ne puis y remédier sans défigurer le projet initial. Concernant le titre, il renvoie à la naissance d’Amandine (à son arrivée parmi les vivants), à son début d’émancipation (imitation consciente des adultes et affirmation de soi), mais surtout au fait que son existence, son arrivée dans le problème entre Serge et Nicolas, va permettre leur réconciliation, avec Stéphanie au milieu, qui a pris courageusement une initiative pour le bien de sa fille et de son beau-frère. Il y a inimitié entre Nicolas et Serge, ce qui explique que l’oncle ne rencontre sa nièce que lorsqu’elle a huit ans, pas avant. Stéphanie pressent que c'est le moment de donner une chance au problème s'est résolu. Elle ne pense pas au régime alimentaire de sa fille mais à tisser des liens, comme le font parfois les femmes.

Cette tranche de vie, bribe d’un roman imaginaire, est placée à la fin d’un cycle de 36 nouvelles intitulé Confins et Carrefours, où chaque texte représente un carrefour pour les personnages ou bien un sommet ou un abysse. Ces textes relatent la difficulté de vivre et arrivé à la 36e nouvelle, le lecteur sait déjà beaucoup de choses sur Nicolas. Mes textes se suivent mais sur Oniris, je ne peux les proposer qu’au compte-goutte ; ils doivent se suffire à eux-même, donc reséduire le lecteur à chaque chapitre et recommencer à zéro. (J’envisageais de faire précéder le titre de chaque texte d’un numéro mais il m’a été déconseillé de continuer de la sorte. Peut-être que pour la publication sur Oniris, je ferais bien d’écrire des versions moins lacunaires et plus complètes ; en l’occurrence, j’aurais dû développer les trois dernières phrases. Cela dit, il ne manque rien au puzzle, sauf erreur de ma part.)

Tankipass, tu relèves le même problème de crédibilité que Monsieur F. Je ne sais comment agir sur cela. Pour moi, c’est tout à fait crédible ; je crois que cela dépend des personnes et de leurs expériences personnelles… d’où la variété des évaluations, de très faible à très bien, sans transition !

Brabant, vous avez raison d’y voir du Socrate, merci pour cette comparaison. Je n’avais pas pensé au Petit Prince mais je souscris à cette idée ! J’apprécie beaucoup vos commentaires, qu’ils me soient destinés ou qu’ils le soient à d’autres auteurs, parce que vous entrez avec pénétration dans les textes, quand d’autres lâchent l’affaire dès qu’ils estiment être tombés sur une maladresse, ce qui les conduit à manquer le deuxième niveau de lecture, encore qu’en l’occurrence il ne s’agisse pas à proprement parler de deviner un deuxième niveau, mais de recoller logiquement les morceaux du contexte, ce contexte implicite, seulement évoqué. J’espère faire aussi bien que vous en tant que commentateur.

« Il n'y a pas meilleur mentor que celui qui s'ignore ou ne se pose pas en mentor. »
Absolument ! Ludi pense l’inverse mais votre commentaire me suggère fortement que je ne suis pas à côté de mes pompes ! Merci beaucoup pour votre lecture. Maintenant, l’idéal serait que vous me disiez ce que je peux améliorer pour toucher un public moins attentif : insister sur les passages-clefs ?

Placebo, l’axe de réflexion est lié au pouvoir qu’ont les mots de trouver une solution à un problème relationnel. Dans le texte, chacun des quatre personnages ont un problème. Nicolas et Serge vivent séparément et se méprisent ou s’évitent, Stéphanie a peur que sa fille ne devienne diabétique, Amandine ne sait pas pourquoi elle ne peut pas toucher au pistolet, ce qu'elle interprète comme un rejet de la part de son père, lequel souffre de tout cela mais ne dit mot ; tout le monde pâtit de l’absence de mots et le canal de communication est cassé entre les adultes. Grâce au discours de Nicolas, via Amandine, via Stéphanie, via Serge, ces quatre-là, comme des dominos, vont se réconcilier et retrouver du sens, de la sérénité, de l’amour. Une question intéressante à se poser pour le lecteur perplexe, c’est : pourquoi Amandine demande-t-elle si Nicolas et Serge vont se réconcilier ? Imagine l’émotion de Serge quand il aura appris que son frère qu’il déteste a permis à Amandine de régler son problème alimentaire. D'autres questions lui permettent d’entrer dans le texte : pourquoi Stéphanie laisse-t-elle Amandine seule chez Nicolas le temps d’une course ? Pourquoi les parents d’Amandine lui parlent comme si elle avait 3 ans ? En principe, sauf erreur de ma part, toutes les bizarreries que le lecteur peut relever trouvent leur justification dans le texte et font avancer sa compréhension, à condition de recomposer le puzzle.

L’amour est plus fort que la mort et les mots sont plus forts que les névroses. On le savait déjà mais j’exploite le filon, en le mettant en scène. Le texte fonctionne comme un morceau de roman que le lecteur est censé recomposer grâce aux indices qui s’y trouvent.

Contribution du : 04/10/2012 20:20
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Citation :
Bien sûr, si le lecteur trouve que quelque chose n’est pas crédible et ne l’intègre pas dans la compréhension de sa lecture,


Ce n'est pas au lecteur de croire à ce qui n'est pas crédible, c'est à l'auteur de faire croire que ce serait quand même crédible. C'est la base même de la SF par exemple.
C'est ce que n'est absolument pas capable de faire votre texte. Et je crois sincèrement qu'il faut que vous réfléchissiez à ce que peuvent dire les adultes aux enfants, et surtout la façon dont ils peuvent le dire...pour que justement votre texte soit crédible.

Citation :
du coup, Amandine ne reçoit pas la responsabilisation qui la conduirait à prendre conscience qu'elle doit manger équilibré.


Par exemple dans ce cas: vous oubliez le rôle de la Tv, de l'école, des parents des copines, des journaux et revues...
Or, dans mon souvenir la fillette ne vit pas dans un monde où tout ça est absent ou hors de sa portée. (du moins de ce que je me souviens du texte). Soit c'est le cas et à vous d'insister là dessus pour montrer le côté hors du monde de l'enfant, soit vous vous trompez sur les enfants et leurs capacités insoupçonnées à comprendre des choses que les adultes jugent hors de portée...Un enfant n'est pas un adulte en miniature (comme semble le penser votre Tonton qui se révèle pour le coup bien moyenâgeux), mais des êtres très doués de réflexion par contre comme le montre assez bien votre fillette...

Contribution du : 04/10/2012 23:21
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
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Merci pour le retour, Renaud.


"De plus, il y a une raison pour laquelle Stéphanie parle à sa fille comme si elle avait trois ans : elle a peur qu’elle ne grandisse et qu’en grandissant, elle ne tombe malade"

J'étais complètement passé à côté de cette dimension. Faut que je relise voir si c'est sous-entendu… Quand tu dis malade, tu parles de ce diabète ? :p


"comment avez-vous reconnu mon style ? Je suis étonné car j’utilise un style différent pour chaque texte. Aurais-je des marottes reconnaissables ?"

Huhu


"En principe, sauf erreur de ma part, toutes les bizarreries que le lecteur peut relever trouvent leur justification dans le texte et font avancer sa compréhension, à condition de recomposer le puzzle."

Je me suis posé certaines de des questions que tu soulèves. Je serais moins catégorique que toi sur le pouvoir de résolution des mots, je pense qu'il s'agit de communication en général. On peut avoir des dialogues de sourds tout comme des échanges non-verbaux fructueux.

http://www.youtube.com/watch?v=aGSKrC7dGcY

Contribution du : 05/10/2012 00:17
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
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Je ne dirais pas "des marottes", ce qui me semble surtout péjoratif...

Non... J'ai lu de vous des constantes à propos du piano, de la culture musicologique, de personnages intellectuels en opposition les uns avec les autres, la forme très dialoguée, le phrase maniéré dans les dialogues...

Peut-être tout cela n'est-il qu'un hasard statistique dans un foisonnement de vos autres écrits qui parlent d'autres choses ? Mais ça m'a sauté aux yeux...

Evidemment, ça veut dire que vos écrits me sont restés en mémoire et sont ressortis à cette lecture. N'imputez pas cela à d'épouvantables marottes comme pourrait l'être la sur-abondance des reférénces aux mêmes personnages de BD, mais plutôt à une atmosphère reconnaissable que vous mettez dans vos textes.

J'aime beaucoup vous lire, c'est tout...

A part cela, vous dites que ces nouvelles sont extraites d'une multitude d'histoires courtes mais liées. Pourquoi ne pas les proposer sous la forme d'un Roman à Oniris ?

Contribution du : 05/10/2012 11:17
_________________
La meilleure nouvelle publiée sur ONIRIS : Palimpseste est raide dingue amoureux de Lobia, inoubliable auteure de "Numéro 20"... Nous sommes ensemble depuis deux ans grâce à Oniris, la meilleure agence matrimonialo-littéraire du Monde !
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Bien reçu Palimpseste et merci beaucoup pour votre fidélité. J’ai pensé à donner les nouvelles sous forme de roman, mais elles ne forment pas une continuité narrative, elles s’articulent autour du même thème : la violence et son remède.

Merci Monsieur F pour votre post. Le tonton est maladroit comme il le dit lui-même. Il ne sait pas parler aux enfants et c’est la première fois de sa vie qu’il doit s’occuper d’une enfant. C’est le sujet même du texte. Son discours est trop complexe pour une enfant, mais Amandine retient ce qui l’intéresse : le canapé, le pistolet, le fait que son oncle et son père soient ennemis. Vous dites que les enfants ont des capacités de réflexions insoupçonnées, comme je le crois moi-même et Amandine est meilleure en compréhension qu’en expression orale, pourrait-on dire. Du coup, je ne vois pas vraiment où se trouve notre point de désaccord. Concernant les media, cela ne remplace pas la relation humaine, cela n'a pas le même poids. Concernant le comportement des parents, c’est le nœud du problème et concernant l’école et les copines, ce n’est pas leur rôle de s’occuper d’alimentation. N’est-ce pas ?

Oui, placebo, c’est écrit dans le texte : Amandine souffre d’un problème sanguin. Ce serait peut-être plus clair si je parlais de diabète, pour fixer les idées du lecteur.

Je suis d’accord pour dire avec toi que le silence a parfois autant de signification que les mots mais en l’occurrence, il ne s’agit de non-dits. Amandine perçoit que son oncle parle beaucoup contrairement à ses parents qui ne lui disent rien ; elle saisit alors sa chance d’éclaircir le mystère inquiétant du pistolet interdit. Elle lui en est reconnaissante et une relation de confiance s’établit entre les deux personnes ; c’est pourquoi elle consent à penser que faire plaisir à sa mère serait une grande chose.

Je ne voulais pas trop en dire dans le texte mais peut-être en ai-je pas assez dit ? C'est vrai que si on lit le texte de façon distraite, ou en posant qu'il n'est pas crédible et qu'il n'y a donc rien à comprendre, c'est du vent et c'est décousu. Mais pour le lecteur qui pose qu'il y a quelque chose à comprendre, il sera, je pense, récompensé.

Comme suggestions d'amélioration, je retiens :
- abréger le discours sur le pistolet (...)
- introduire le mot de diabète pour donner du poids au problème de la famille.

Merci pour vos retours.
Bien amicalement,
N.

Contribution du : 05/10/2012 20:50
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Citation :
concernant l’école et les copines, ce n’est pas leur rôle de s’occuper d’alimentation. N’est-ce pas ?


détrompez vous : l'école fait de l'éducation à l'alimentation (dans les anciens cours de biologie rebaptisés), et mes enfants savent presque mieux que moi à l'âge de votre héroïne, ce qu'il convient ou non de manger. Il ne faut pas oublier que pas mal d'enfants mangent plus souvent à la cantine qu'à domicile, et que pas mal de parents savent de moins en moins ce qu'il convient de donner ou non à des gamins.

Notre désaccord vient du fait que vous avez votre vision des enfants et de leurs capacités et moi la mienne. Et je ne sais pas si la votre est confronté à la réalité, ce qui ne m'autorise pas à dire si elle est juste ou fausse. La mienne l'est mais elle est partiale évidemment..J'ajouterai quand même qu'un de mes enfants à le même âge que l’héroïne. et le même sexe.

Contribution du : 05/10/2012 23:33
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
D'accord, je crois comprendre ce que vous voulez dire.

En fait, ce n'est pas ma vision des enfants qui compte dans ce texte mais celles respectivement de l'oncle et de la mère. Autant celle-ci lui parle comme si Amandine avait trois ans, autant celui-là le fait comme si elle en avait treize. Ce décalage est le sujet du texte et je pense que la maladresse de l'oncle s'interprète comme une réaction à l'infantilisaton de l'enfant, comme un curseur qui va trop à droite parce qu'il a été trop à gauche.

Concernant la cantine, votre objection reste anecdotique dans la mesure où l'école peut tout à fait échouer là où la mère échoue. En effet, le problème n'est pas qu'Amandine ignore que les légumes soient bons pour la santé. Au contraire, elle ne le sait que trop et on lui fait la tête comme un champignon tous les jours avec cette histoire ! Son problème est qu'elle est en réaction contre sa mère qui l'infantilise. Manger des légumes = faire plaisir à Maman = accepter d'être traitée comme si elle avait trois ans. Grâce à Nicolas, Amandine se rend compte qu'elle peut faire la grande personne tout en mangeant les légumes et en faisant plaisir à Maman.

Il faut beaucoup de mots pour décoincer les non-dits et l'oncle est généreux en nourriture spirituelle !
Tout se tient

Contribution du : 06/10/2012 12:41
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Le souci Renaud est que vous êtes tellement convaincu d'avoir raison qu'en fait vous ne tenez compte des objections.

Je ne pense pas que le lecteur que je suis, et au vu de certains commentaires que sont d'autres, partage votre point de vue.

Votre texte a besoin de bien longues explications pour sembler "sérieux", or il me semble que tous les textes s'ils sont bien écrits n'ont pas besoin de la pléthore d'arguments que vous me servez.

Bref, je perds mon temps, encore une fois, et je cesse là toute tentative de discussion ou débat avec vous.
Continuez à vous persuader.

Contribution du : 06/10/2012 13:07
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 
Dommage… j’aurais souhaité mettre mon texte à l’épreuve de votre sagacité de façon plus profonde. Concernant la présence de l'école dans l’affaire, j’ai ajouté une phrase dans l’une des répliques de Stéphanie : « Pourtant, à l’école, on lui apprend la diététique, mais c’est pareil : elle ne veut rien savoir. » Vous voyez, tout cela ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd

Merci pour le temps passé à me répondre, Camarade onirien, et au plaisir de vous lire prochainement !

Contribution du : 06/10/2012 15:03
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Re : Le Puzzle de l'Arrivée d'Amandine
Visiteur 

Contribution du : 13/10/2012 00:23
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