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Remerciements aux commentateurs de "les déserts".
Expert Onirien
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31/01/2013 13:43
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Merci à vous tous d'avoir pris le temps de lire et aussi de commenter.
Pimpette, j'ai reçu ce premier com. avec plaisir. Je suis partagé entre le fait d'expliquer ou pas certaines images mais finalement je vais éclairer quelques lanternes. Certaines dunes chantent: C'est le terme employé par les chercheurs qui étudient depuis longtemps le "chant" de ces montagnes de sable qui se déplacent sous l'effet des vents. Chaque grain de sable qui roule vers le bas fait un infime bruit mais multiplié par des milliards cela crée un fond sonore perceptible. Le plus étrange étant que la plupart des dunes sont muettes .
David, merci pour le com. avant la parution. Pour le problème de ponctuation il a été corrigé.
Pouet, Bien sur qu'on ne peut pas piétiner les morts, encore qu'en poésie on va loin parfois. Non, sérieusement je fais référence au fait que la plupart du temps les gens ne se rendent pas compte de la fragilité de ce milieu vivant, car les déserts sont bien vivants et émouvants et encore plus que tout ça. Les motos les 4/4 détruisent tout sur leur passage, non pas que les gens soient destructeurs mais ils pensent rouler sur un tas de sable inerte qu'on peut piétiner puisque toute vie en est absente.
Salut Léni. Verhaeren, Kessel, y'en a pas encore un peu ? Je suis heureux que cette description puisse plaire car ces endroits sont tellement magiques que c'est un bonheur de pouvoir partager quelques instants avec vous tous. Traversons suivi de on ? Ben... Maladresse.
Tchouang. Tous les com. sont bons à prendre et je réponds au votre car j'ai pu le lire avant qu'il ne soit modéré. Il ne faut surtout pas venir sur Oniris si on n'espère que des louanges et je comprends fort bien que certains commentateurs soient plus difficiles que d'autres, peut-être simplement parce-que leur niveau d'écriture se situe largement au-delà de celui de simple amateur revendiqué par la plupart d'entre nous. A bientôt sûrement.
Iodélane, tant d'images vous ont plu, j'en suis ravi. Nous suivi de on ? Je vous dirai comme à Léni: maladresse. Si vous persistez à me les montrer du doigt je finirai par les éviter.
Brabant, vous êtes le premier à me parler de cette interrogation finale et je dis bien vu car à mon avis c'est le point intéressant de ce texte, je veux dire que si on m'avait demandé de supprimer cette phrase j'aurais refusé quitte à ne pas paraître. C'est vrai que le ton moralisateur gonfle un peu mais les déserts aussi magnifiques soient-ils avancent partout sur la planète et l'homme n'est pas adapté à ce milieu à part quelques peuplades qui ne font que le traverser et vivent à la périphérie. Pour "nous laisse indifférents" voir plus haut le com. pour Pouet. Quant à mélanger "se noyer avec désert" ben j'ai pensé que l'opposition était bien trouvée. Pour vous c'est raté. Tant pis mais à bientôt j'espère.
Fugu, les goûts et les couleurs... Mais je vais tenter une explication. "l'haleine des vents" c'est chaud le souffle du vent dans un désert et souvent odorant donc j'ai pensé que le terme choisi l'était bien. "Beaucoup trop grands, géants de notre Terre" Redondant ? Mais peut-être pas pour celui qui a marché, transpiré, eu peur de ne pas trouver la sortie quelquefois. Alors oui je les trouve trop grands pour les petits humains que nous sommes, et géants à la manière des océans. "Rouler sur leur peau"? Mais oui, bien sûr puisqu'ils sont vivants! Quant à Nicolas Hulot ? Hé bien, ça me va, plutôt content même !
Wancyrs. J'ai lu plusieurs de vos textes, c'est sûr que le mien ne réserve pas beaucoup de surprises dans ses métaphores. Pour ce qui est d'avoir une double lecture, il y a de ça mais pas comme vous l'avez supposé. Je n'ai pas pensé au désert moral que pourrait vivre un être désespéré bien que l'idée soit intéressante mais plutôt à cette double entité, le désert, tas de sable inerte au premier abord et celui vivant de multiples façons. Vivant car mobile, vivant car abritant une flore et une faune discrètes mais bien présentes. Une autre vie plus mystérieuse celle-là et qui vous prend aux tripes, sensation qu'il serait vain de vouloir ignorer. Que peut-il bien y avoir dans ces lieux qui nous envoute ?
Iloa, Ca nous arrive de temps en temps de ne pas trop saisir le sens de nos lectures et de se régaler quand-même, c'est pour ce genre de partage que je vais essayer de me faire une petite place sur Oniris.
Marite, je cite Léo Ferré: Toute poésie destinée à n'être que lue et enfermée dans sa typographie n'est pas finie. Elle ne prend sa dimension qu'avec la corde vocale tout comme le violon prend la sienne avec l'archet qui le touche. fin de citation. Vous avez lu à voix haute, vous avez tout compris. Je procède comme ça assez souvent et c'est vrai que ça change tout.

Contribution du : 10/04/2013 17:31
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