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À propos de « Naître ou ne pas naître ». Remerciements.
Chevalier d'Oniris
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02/06/2012 10:43
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D’abord, un grand merci à tous pour avoir consacré votre temps à ce texte.

MIGUEL, SOCQUE, HANANKÉ, IODELANE, BRABANT, ROBOT, TITEFÉE, MONA, TROUPI, SANSONNET, FATTO, DAVID.

Le choix de cet « Eupatride » a l’avantage de produire un petit effet du fait de sa relative rareté. Il possède une bonne qualité sonore. Mais ce qui dicte vraiment mon choix suit. Dans l’Athènes archaïque, l’Eupatride, c’est l’aristocrate (aristo = meilleur), celui qui a un « bon père », l’esprit glisse automatiquement dans ses opérations de calcul autonomes, bon père = bonne ascendance = bonne race = racialement pur (porc) = culturellement pur = culturellement conforme = socialement conforme = eupatride.
Un champ très intéressant pour notre époque.

Avec MIGUEL et IODELANE, vous soulevez la question de ce onzième vers sur laquelle je reviens avec TITEFÉE. ROBOT, techniquement, avec ou sans virgule, votre lecture est la bonne.
Au départ, le rondeau décasyllabique en 5/5 c’était un pur exercice de style auquel je me livrais pour me confronter à la formule du pentasyllabe. Le sujet m’est venue par hasard en tombant sur le thème « passage » d’un concours affiché à la médiathèque.
Car question forme, la difficulté tient davantage dans le traitement en 5/5 que dans le décasyllabe à proprement parler.
La forme pentasyllabique est probablement, de toutes, la plus difficile à manier. Pour recourir à un esprit averti de ces choses, j’imagine que MIGUEL ne me contredira pas.

TITEFÉE : Sans vouloir susciter la jalousie chez nos chers oniriens, je vous délivre une mention « exceptionnel +++ » pour la lecture que vous avez faite de mon petit sous-chef d’œuvre. Votre voix et la qualité de votre diction m’ont renversé au point de me demander si c’était bien le « truc » dont j’étais l’auteur que vous étiez en train d’honorer de si belle façon.
Vous m’avez apporté une réponse à la question que je me posais sur ce onzième vers. Je ne vais pas la jouer « génie » qui maîtrise à cent pour cent son écriture (il y a bien un ou deux pour cent qui m’échappent). Il y a parfois des doutes. Ce onzième vers en est l’illustration. Au départ, je voulais forcer la coupe après le cinquième pied en mettant trois point comme suit : « Parce que fille et… le droit de cuissage », parce qu’à défaut, je voyais bien que ce vers faisais un 4/6. D’un autre côté, la rupture de rythme du 4/6 me paraissait tout à fait convenir pour introduire le fatal final du vers 12 (tout en insistant, comme le fait remarquer ROBOT, sur « le droit de cuissage » qui est essentiel).
C’est par hasard que j’ai laissé le 4/6. Je n’ai pas su me déterminer. Votre magnifique lecture m’a apporté la réponse, le 4/6 est le meilleur choix. Merci infiniment. D’autant que MIGUEL et ROBOT, si j’ai bien compris, sont plutôt d’accord avec cette option.

Contribution du : 21/07/2013 20:39
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