Je remercie les lecteurs ayant pris le temps de commenter ce texte.
Je dois dire que j’ai hésité à l’envoyer car il est amputé des tableaux qui l’ont inspiré…

Edgard, je suis touchée car vous avez parfaitement saisi ce que je voulais transmettre, vous avez compris ce changement de perspective, cette onde allant du sujet à l’artiste…
Votre évocation de Yasunari Kawabata, me plaît beaucoup et me flatte, car je suis une grande admiratrice de son style dépouillé et de la puissance de ce qu’il peut suggérer !

Brabant, merci pour vos mots « d’iconoclaste moraliste », je vous cite.
Mais loin de moi l’idée d’assassiner les geishas, j’avais plutôt envie de raconter ce que cachent les fards mêlés aux couleurs du peintre… Soupçonnant certains moralistes déguisés en iconoclastes de se tapir sous les kimonos… Les estampes des Mondes Flottant, « l’Ukiyo », devraient vous ravir !


Diva-luna, vous avez raison je n’ai pas vraiment fait attention à l’incipit ; certaines répétitions marquaient pour moi le côté lancinant des musiques du théâtre Nô, ou encore ce rythme troublé du syndrome de Stendahl que vous évoquez… je suis d'ailleurs heureuse que vous l’ayez ressenti !

Pépito, j’attends que votre conduite regagne quelques points et je me ferai un plaisir de vous répondre de vive voix…