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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Trioniriens |
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MORTELLE CHALEUR
La chaleur sèche frappe aux volets refermés De ses assauts puissants qui meurent au midi Une noirceur précoce a su la désarmer La chaleur sèche frappe aux volets refermés Veillant sur un vieillard dans son âge enfermé Qui repousse en dormant le feu des tragédies La chaleur sèche frappe aux volets refermés D'un éclat de sa faux qui gronde et psalmodie
Contribution du : 28/06/2015 11:08
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
 
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Où vas-tu à guetter l'heure ?
L'heure en suspension Dont la lenteur est un leurre Où vas-tu à guetter l'heure ? L'heure vient qu'on meure Du trop-plein des émotions Où vas-tu à guetter l'heure ? Tu as ta ration
Contribution du : 02/07/2015 17:11
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L'homme est conduit par l'aveugle qui est en lui- J.Claude Izzo Poésie et carnets artistiques : https://papiers-relies.assoconnect.com/ |
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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Franchiras-tu le seuil
De l'indolence à la vivacité Du brouillon au recueil ? Franchiras-tu le seuil ? Sortiras-tu enfin de ton fauteuil ? Ton mal est cécité Franchiras-tu le seuil Alors tu t'offriras droit de cité
Contribution du : 19/07/2015 00:11
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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Quand la muse résonne
Il me vient à l’esprit Un poème qui sonne Quand la muse résonne Au fond du coeur entonne La rime qui sourit Quand la muse résonne Je verse dans l’écrit.
Contribution du : 25/09/2015 11:50
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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On s’imaginait rebondir
contre le mur sans s’écraser jouant le jeu, aller, venir … On s’imaginait rebondir. Jongleur troublé où est ton rire, ton goût pour la légèreté ? On s’imaginait rebondir en bafouant la gravité !
Contribution du : 22/11/2015 13:31
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"La poésie est aux apparences ce que l'alcool est au jus de fruit" Guillevic |
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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S'ouvre la brume
Sur le rai de lumière Le cafard s'enrhume S'ouvre la brume Et tu quittes l'enclume Des pensées de civière S'ouvre la brume Le soleil court en rivière
Contribution du : 21/12/2015 10:33
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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Écrire à nouveau me surprend,
Au détour de ce châtaigner, Quand la balade me reprend. Écrire à nouveau me surprend, Au long fil de ce soir durant, à scruter les fils d'araignées. Écrire à nouveau me surprend Et le manque m'a fait saigner.
Contribution du : 21/01/2016 15:23
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Re : Trioniriens |
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Quand s’étale un crépuscule blafard,
De l’horizon jusqu’aux ports engourdis, Je guette le frêle rayon d’un phare. Quand s’étale un crépuscule blafard, Aux couleurs du teint gris des joues sans fard, Je crains la clameur des vents assourdie. Quand s’étale un crépuscule blafard, C'est dans ton regard que je m'enhardis.
Contribution du : 21/01/2016 19:56
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Re : Trioniriens |
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Maître Onirien
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Elle s'envole vers les grands espaces
Celui des conquérants des nomades Elle fuit le monde qui lasse Elle s'envole vers les grands espaces Et je reste inerte comme une masse Dans mon foyer devenu fade Elle s'envole vers les grands espaces Des étoiles à l'âme en myriade
Contribution du : 22/01/2016 11:26
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Re : Trioniriens |
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Dans l'eau se cachent les ondins
Prenant formes de lents poissons Gris argent, ils vont se frôlant les reins Dans l'eau se cachent les ondins Les ondines si l'on y regarde bien Naissent sous les reflets d'horizons Dans l'eau se cachent les ondins Frétillant ferme à l'unisson
Contribution du : 20/07/2016 21:24
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