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Antoine de Bourbon vous remercie
Visiteur 
Bonjour à tous les amis passés, présents et à venir d'Antoine de Bourbon qui vous remercie du fond de son tombeau. Merci au CE d'avoir accepté ce texte, aux lecteurs et commentateurs de l'avoir globalement apprécié.
Une page supplémentaire à rajouter aux petites histoires qui ont fait la Grande ; si j'en crois différentes sources, ces faits sont réels. C'est ainsi que périt cet homme, époux de Jeanne d'Albret et père d'Henri IV.
L'épitaphe empruntée à Voltaire est incomplète mais véridique.
Il semble que le projectile qui l'atteignit à l'épaule venait bien d'une arquebuse et non pas d'un mousquet mais comme ces deux engins de mort existaient à cette époque, le doute est permis.
A ce propos, ce vers m'a chagriné :

Quand atteint par un tir d'arquebuse il défaille…

La césure se situe entre tir et arquebuse et, même si c'est acceptable (mais j'ai un doute), la respiration n'est pas évidente.

J'avais deux autres possibilités :
-Quand atteint par un tir à l'épaule il défaille
ou
-Quand d'un tir d'arquebuse à l'épaule il défaille.

J'aimerais avoir votre avis !

La ponctuation est imparfaite, quelques tournures ont semblé à certains quelque peu alambiquées...
Pour la ponctuation j'en conviens, pour les tournures c'est ma façon d'écrire.
Par contre il n'y a point hiatus entre « vie et » dans le vers suivant : Il y perdra la vie et malgré la victoire...

car on trouve la même suite chez Lamartine, Baudelaire et V.Hugo

Pour conclure je sais que si beaucoup d'Oniriens accueillent avec le sourire ces thèmes historiques à la sauce Alexandre, bien d'autres aimeraient me voir changer de registre.
J'essaie, j'essaie, mais c'est comme un virus que je n'arrive pas à vaincre…
A ces derniers je veux dire, ne désespérez pas, je me soigne !

Encore merci et à une fois prochaine avec une histoire de fesses si le CE l'accepte !

Contribution du : 23/07/2014 12:32
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Maître Onirien
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""bien d'autres aimeraient me voir changer de registre.
J'essaie, j'essaie, mais c'est comme un virus que je n'arrive pas à vaincre…
A ces derniers je veux dire, ne désespérez pas, je me soigne !"

Parle nous de toi si tu peux!
Tembrasse
Pimp'

Contribution du : 23/07/2014 12:37
_________________
"""Soyez réglé dans votre vie ordinaire
comme un bourgeois, afi n d’être violent et original
dans vos oeuvres. »

Gustave Flaubert
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Visiteur 
Bonjour,

j'écrirais "Quand, d'un tir d'arquebuse à l'épaule, il défaille." mais la césure n'est-elle pas "caduque" avec ces virgules ?

Césure virgule caduque ouh... une idée ! merci...

Contribution du : 23/07/2014 13:51
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Expert Onirien
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Quand un tir d'arquebuse l'atteint ! Il défaille,

Je crois que je l'aurais écrit ainsi pour souligner la soudaineté du coup.

Bravo encore

Contribution du : 23/07/2014 16:06
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Visiteur 
Pour information, Michel64 : votre proposition ne répond pas à tous les critères de la catégorie de "Poésie classique" sur oniris.
Quand/un/tir/d'ar/que/bu/se/l'a/tteint/Il/dé/faille,
Vous remarquerez que la césure ne se situe pas à l'hémistiche, mais après la septième syllabe du vers. Cela suffit à empêcher la publication en catégorie de "Poésie classique" onirienne d'un poème qui comporterait ce vers.

Par ailleurs, pour revenir à ce que vous disiez plus haut, Alexandre,
dans
Il y perdra la vie et malgré la victoire
il n'y a effectivement pas hiatus, grâce au "e" muet de "vie" qui s'interpose entre les deux autres voyelles.
De même
"Je suis éberluée à te voir, bien-aimé"
ne comporte pas de hiatus, contrairement à
"Je suis éberlué à te voir, bien-aimée".
(En plus, le vers est moche, mais là n'est pas la question.)

La parité, c'est pas encore ça...

Contribution du : 23/07/2014 16:25
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Expert Onirien
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Merci socque pour la remarque.
J'ai encore un peu de mal avec cela.

Contribution du : 23/07/2014 16:35
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Visiteur 
Citation :
Alexandre : Par contre il n'y a point hiatus entre « vie et » dans le vers suivant : Il y perdra la vie et malgré la victoire...


Mon pauvre Alexandre, bientôt il va falloir que tu justifies pourquoi tu fais des rimes.

Contribution du : 23/07/2014 17:23
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Visiteur 
Alexandre,


Je me suis battu avec ton vers arquebusien, mais n'ai point vaincu.
Désolé de cette défaite.


Est-ce que je peux profiter de ton sonnet pour poser une petite question ?

Je suppose que la rime en "aille" est considérée comme suffisante.
Dès lors, je remarque que, dans les deux quatrains pris ensembles, il y a deux rimes suffisantes ("aille" et "ort").
Mais si l'on prend chaque quatrain séparément, je remarque aussi que les rimes sont riches ou même plus que riches ("onsort" et "taille" dans le premier; "fort" et "faille" dans le second). Je suppose que c'est le fruit de ta volonté et non celui du hasard.
Ces rimes sont-elle alors à considérer comme suffisantes ou riches ?
Je suppose que la richesse de la rime devrait être considérée sur l'ensemble des deux quatrains, c'est -à-dire comme suffisante. La particularité de ton sonnet rendrait-elle ces rimes moins que riches, mais plus que suffisantes ? Ces rimes sont-elles "suffisant dièze" ou "riche bémol" ?

Contribution du : 23/07/2014 18:24
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Apprenti Onirien
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Citation :
Il n'y a effectivement pas hiatus, grâce au "e" muet de "vie" qui s'interpose entre les deux autres voyelles.

J'aurai appris quelque chose, merci.

Contribution du : 23/07/2014 19:49
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Re : Antoine de Bourbon vous remercie
Maître W
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Citation :

Alexandre a écrit :
Encore merci et à une fois prochaine avec une histoire de fesses si le CE l'accepte !


Du cul.
Peut-on rêver d'un meilleur teasing ?

W

Contribution du : 23/07/2014 21:29
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