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À propos de "Perplexité", remerciements
Visiteur 
Je remercie ici le Comité Éditorial qui a choisi d’intégrer ce texte au catalogue d’Oniris, les correcteurs qui se sont penchés dessus, ses lecteurs et commentateurs.

Un merci tout particulier aux trois membres qui ont commenté le texte en Espace Lecture, me permettant, dès la publication, de lire des avis variés ! Merci à vous, donc, Miguel, Ioledane, Hananke.

Un merci tout particulier à ceux qui, n’ayant pas aimé, ont fait l’effort de donner leur avis : ils n’en ont que plus de mérite. Merci à vous, Marite, diva-luna, Louis, RB.
Marite, diva-luna, RB, vous déplorez me semble-t-il un manque d’émotion, d’affect dans ce texte. Il est vrai que ce n’est pas mon fort ; du coup, vous avez l’impression d’un « exercice » (complètement raté en ce qui vous concerne, je crois RB et diva-luna). D’une manière générale, vous trouvez le texte sans musicalité. J’en prends bien note dans l’espoir de m’améliorer pour l’avenir.
Marite, vous signalez des mots qui vous paraissent « peu poétiques » ; il est vrai que je ne m’interdis aucun mot nulle part, et ce sera une bonne chose si je n’ai jamais à prononcer un discours pour une occasion solennelle !
Louis, dans votre commentaire comme d’habitude très riche, vous déplorez ce qui vous apparaît quasiment comme une profession de foi d’un grand dessein, d’un Tout volontairement ordonné. Il me semble qu’une autre lecture est possible, celle de la perplexité pure. Le deuxième quatrain me semble la strophe la plus susceptible de prêter le flanc à une interprétation théiste, mais somme toute que dit-il, sinon que les vers sont utiles à la floraison des roses et que les maux ont leur place dans la marche des choses ? Qui dit place ne dit pas forcément réservation et organisation…
Quoi qu’il en soit, comme j’ai dit, l’effort de votre part, de commenter un texte qui ne vous a pas plu, est plus important, donc plus méritoire. Je ne puis qu’espérer que cette mauvaise expérience ne vous dissuadera pas de continuer à lire et commenter d’autres textes de moi.

Un merci tout particulier à vous, Miguel, Hananke, Alexandre, patro, qui exprimez un ressenti mitigé ; pour vous, dans ce texte se mêlent le bon et le moins bon. Vous m’amenez ainsi à réfléchir à tel ou tel aspect.
Miguel, patro, de vos commentaires ressort nettement l’idée exprimée ailleurs de façon diffuse que dans ces vers se manifeste un côté « ravi de la crèche », une naïveté un peu gol mais plutôt sympathique. Ça me fait vachement plaisir qu’on puisse avoir cette lecture, cela me réjouit que le texte puisse pour certains lecteurs exprimer la perplexité évoquée par son titre ! Je me dis que si je peux faire ressentir un côté « ouah la vache ! », c’est bien.
Miguel, Alexandre, Hananke, vous rejoignez Marite et diva-luna dans le regret de l’emploi du mot « ménopauses » (entre autres). Outre l’appel de la rime (qui aurait pu être satisfait, comme le signale tizef, avec « ostéoporose » ou « arthrose », j’ai préféré employer un terme de « maux » où la voyelle « o fermé » a pour graphie « au », ainsi le schéma des rimes féminines des quatrains est celui-ci :
- oses
- auses
- auses
- oses
ce qui apporte une symétrie répondant à l’embrassement des rimes de ces quatrains. La graphie des rimes masculines étant uniformément « - vers », j’ai trouvé qu’ainsi les quatrains manifestaient un niveau d’ordre rigoureux correspondant au propos d’ébahissement devant « la marche des choses ».
Hananke, Alexandre, vous relevez le choix de la structure 4/6 pour les décasyllabes. Il est vrai que je la préfère à la structure 5/5 qui me paraît plus monotone sur la longueur, et surtout je n’ai pas eu le sentiment d’avoir eu le choix pour écrire un texte respectant les contraintes de la catégorie de « Poésie classique » sur Oniris : j’ai préféré ne pas prendre le risque d’une autre structure que celle canonique 4/6, à aucun moment.
Hananke, concernant la concordance des temps au dernier vers, je suis persuadée pour ma part que dans l’état présent de la langue française l’emploi de l’imparfait du subjonctif n’est tout simplement plus obligatoire, même à l’écrit, sauf dans des expressions toutes faites. Je me suis donc sentie libre de conjuguer au présent du subjonctif, d’autant qu’entre-temps j’ai décidé d’amender légèrement ce vers : au lieu de
Pour que l’étoile allume la rétine
il se décline désormais en
Pour que l’étoile affleure à la rétine.
Alexandre, contrairement à Ioledane et avec tizef, vous déplorez l’emploi du mot « ensemencements ». Il se trouve que j’y tiens beaucoup, parce que dans ce « en semant, semant » se trouve à mes yeux condensée la problématique de l’évolution qui avance en tâtonnant, se répétant, sans vraie grâce ni efficacité mais avec un effet cumulatif prodigieux.

Un merci tout particulier à vous, Ioledane, tizef, Pimpette, leni, Francis, margueritec ! Le plaisir que vous avez semble-t-il pris à votre lecture, votre générosité (et, pour Pimpette, votre extravagance dans l’évaluation !) m’encouragent énormément à continuer, vous vous en doutez. Merci à vous, margueritec, pour le lien sur le texte de Ponge… vous me faites beaucoup d’honneur.

J’ai vraiment eu beaucoup de chance avec les commentaires apportés à ce texte, car ils sont très variés, m’apportent à la fois du plaisir et matière à réflexion pour creuser mon écriture ! Une fois de plus, grand merci à vous tous…

Contribution du : 29/09/2014 09:33
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Re : À propos de "Perplexité", remerciements
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Salut,

C'est un peu marginale mais je voulais noter en passant que cause sur le Littré c'est (kô-z'), un O ouvert, et sur le dico du cnrs, c'est [ko:z], un O fermé.

http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/cause

http://www.cnrtl.fr/definition/cause

Je me servais du Littré pour les diérèses et pour les rimes, mais il met des O ouvert fréquemment, qui ne doivent plus être d'actualité aujourd'hui ("eau" est fermé, mais "des eaux" est ouvert, "crapaud" est ouvert dans le Littré mais fait partie d'exemple de O fermé sur des publications plus récentes).

Mais le second dico peut citer le premier comme référence sur d'autres questions... ça m'énerve.

Contribution du : 29/09/2014 14:47
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Re : À propos de "Perplexité", remerciements
Visiteur 
Ah oui, je suis d'accord que c'est chiant ces incertitudes sur les "o" fermé et ouvert, mais je m'étonne, David : comment "ô" pourrait-il correspondre au "o" ouvert, alors que cette graphie, dans l'écriture, correspond toujours à un "o" fermé (dôme, fantôme, arôme, ô, dépôt, rôtir, bôme, etc) ? Ne serait-ce pas le contraire ?

Littré en ligne n'utilise pas l'alphabet phonétique international, ce qui n'aide pas...

Contribution du : 29/09/2014 15:29
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Re : À propos de "Perplexité", remerciements
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houla oui, c'est bien une confusion de ma part, je parlais bien des O fermés qui me semblaient plus nombreux dans le Littré que par ailleurs.

Contribution du : 29/09/2014 15:38
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