Merci à vous, chers organisateurs, évaluateurs, correcteurs d’avoir pris le temps de lire, ou plutôt de relire ce petit texte et de le publier.
Merci à vous tous, chers commentateurs, pour vos petits messages enrichissants et toujours si gratifiants.
Quelle serait la meilleure réponse à vous apporter ? Que par votre lecture, votre appréciation, une connexion entre nous a eu lieu quelques instants ? N’est ce pas ce qui se passe quand nous respirons ? Ne sommes nous pas tous connectés à la même source gazeuse pour survivre : l’air qui nous entoure ? Noir, rouge, blanc, petit ou grand, féminin, masculin, humain, animal, plante, nous échangeons des molécules d’air tout au long de nos existences. La respiration est notre langage commun, à nous tous, les êtres vivants de cette planète. Ce phénomène, tellement banal que nous oublions parfois qu’il a lieu, n’existe que durant le moment présent. Il est l’objet de méditation le plus simple, disponible à chaque instant et n’importe où, le moyen idéal pour effacer quelque temps le fouillis intérieur. Petit courant d’air permanent, il est le seul lavage de cerveau véritable.
Pour ce texte, j’ai tiré mon inspiration d’un simple petit bouquin très clair et très pratique « Méditer au quotidien » de Hénépola Gunaratana que je vous conseille vivement.
Encore merci à vous d’avoir lu ce texte qui n’est sans doute pas très poétique mais qui, par l’universalité du propos, a su néanmoins toucher la plupart d’entre vous, ce qui était le but. Je suis content que chacun y ait trouvé son intérêt ou ait pu simplement prendre une petite pause grâce à lui.

A bientôt.