Lulu; merci pour vos remarques flatteuses; pour moi, ce fut un mauvais rêve, mais sous d'autres latitudes, le gibet dresse son bois sinistrement!

Hananke; des cauchemars, j'en ai des valises sous l'oreiller, mais ne saurais ainsi que Mr Hugo, les coucher dans un livre! Merci d'avoir accueilli mon condamné.

Leni; même moi, jusqu'à un certain passage, ne m'attendais à une telle fin! Je suis content que mes vers vous aient plu.

Alexandre; j'ai tenté, en privé de m'expliquer; ce fameux «pain d'argile» existe de par le monde, ou faute de caviar on suce les sels minéraux de ce pain, pour ne pas mourir; le fameux « Gille « de Binche m'a bien fait peur cette nuit-là! La foule «éprise», comme «avide» de frissons, mais pour l'oreille, de/de n'est pas heureux! Ce petit poème, je le présentai sans conviction à Oniris, alors je suis content qu'il fut édité. J'avais eu de la peine par contre lors du refus d'une «Gérardine», que j'aimais beaucoup. Mais tes commentaires, cher Alexandre, même en demi teinte, sont pour moi si dopants!

Francis; je pourrais être ce Weidmann, car j'interprète des rôles parfois si monstrueux dans mon sommeil, que je mériterais au moins le fouet! Or, je pense être gentil, aimant les films à l'eau de rose...

assagui; merci pour votre lecture bienveillante jusqu'au «bip» salvateur! La «multiplication des poissons» vient là pour rajouter du farfelu au récit!

Pieds enVERS; une de mes plus grandes joies sur terre, est de me réveiller sur une belle journée à venir, et cela pour longtemps encore; avant de m'endormir et fermer les yeux à jamais sur le noir des ténèbres. Mais avant ce terme, je vous montrerai plein de douces écritures, si Oniris le consent? Merci d'avoir aimé.

PIZZICATO;c'est bien le fameux Gille de Binche (et je suis français) qui épouvante petits et grands! Voyez ce que j'écris à Alexandre sur le «pain d'argile». Merci pour votre lecture

Damy; vous avez aimé mon histoire, qui se finit bien; ouf, comme vous dites! Merci à vous.

Arlet; mes vers vous semblent bien ficelés, pour un héros qu'on s'apprêtait à encorder, j'en suis heureux, comme je le fus à mon réveil dans les draps bien parfumés à la lavande! Merci à vous

Wall-E; bip bip, on se réveille! Quelle chance on a de vivre en paix! Ailleurs, au bout du couloir de la mort...Merci

tizef; c'est vrai que le lecteur se demande au fil de mes lignes, si mes neurones ne fument pas par les oreilles? Mais il y a la chute! J'étais parti sur ce chemin menant à la potence, pour évoquer ces terribles derniers instants, puis soudain ma plume se ravisant, opta pour un épilogue bien plus clément, pour mon cou! Merci à vous

Cristale; je fus ce matin-là très heureux de me réveiller, et sentir que mon cou n'était pas étranglé! Le mardi-gras à Binche, je rentrerais avant la nuit, tenant fort la main de ma petite-fille pour qu'elle ne voit pas ce terrible «Gille»! Vous aimez les octosyllabes de mes vers, c'est ce qui me vient le plus facilement au bout de plume; mais faire rire, au moins sourire est tellement difficile! La foule «éprise» de frissons; comme je le dis plus haut à Alexandre, la foule n'a pas peur, au contraire elle en redemande! Mon terme semble inapproprié, mais c'est le sens que je voulais montrer. Merci pour vos compliments.

J'aime aussi les octosyllabes, plus légers et plus souples que les alexandrins.
Ils donnent à ce poème un petit air guilleret qui font que dés les premier vers on pense qu'il y a anguille sous roche.