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Remerciements pour mon poème "La gargouille"
Expert Onirien
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23/06/2011 17:15
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Je vous remercie toutes et tous pour ce temps passé à me lire et me commenter :

Bipol : merci. Le thème de ce sonnet est original. L’idée m’en est venue soudainement étant à la recherche de sujets qui sortent des sentiers battus.

C’est à la fois une chance d’explorer un thème qui n’a que peu été utilisé par le passé et une difficulté supplémentaire pour la même raison. Dans ce poème, je voulais rendre surtout visible la bestialité de la gargouille, la décrire comme si elle était un être vivant.

Miguel, merci. José-Maria De Hérédia reste l’un de mes poètes préférés étant un amoureux inconditionnel du Parnasse et de ses auteurs.

Pour la présence de la virgule, la chose a été corrigée comme vous avez pu le constater. Le terme « glauque désarroi » souligne le côté effrayé et effrayant de la sculpture.

Hananke, merci. Tu vois, il m’arrive encore de commettre ici et là des fautes de ponctuation. Je gage que même sans cela tu m’aurais reconnu (même si je ne viens que très rarement publier ici).

Tizef, merci. L’inversion « humide choc » comme vous avez dû vous en douter ne provient que de la limitation des terminaisons possibles qu’engendre le choix d’une rime peu courante.

Pizzicato, merci. Oui, elles sont laides de même que leurs cousines les chimères. Il y a dans ce sonnet un ton sous-jacent sarcastique et une volonté à peine voilée de les plaindre en même temps.

Alexandre, merci. L’onomatopée m’est venait instantanément comme une évidence. J’ai lu ce sonnet dans un concours international de poésie en mars. Il a été très bien reçu et l’onomatopée a fait sourire l’assistance.

Pour le choix du verbe « pendre » il me paraissait aussi logique puisque j’évoquai une « langue » qui plus est « lourde ». Oui, pour « humide choc » l’inversion (que je ne prise jamais par ailleurs) était rendue obligatoire par le choix limité de la rime.

Francis, merci. Oui, c’était ce réalisme que vous décrivez justement je cherchais à faire sentir aux lecteurs.

Leni, merci. C’est vrai, ce sonnet à par moment une connotation quelque peu enfantine. Comme une comptine.

Papipoete, merci pour l’appréciation sur le pseudo. Je suis un éternel rêveur. Je crois que c’est une chance lorsque l’on veut se frotter à l’écriture et particulièrement la poésie.

Robot, merci. C’est vrai ! On croirait presque qu’elles sont vivantes et nous observent du haut de leur perchoir.

Jfmoods, merci pour la précision de votre commentaire. Votre remarque sur le vers 6 était une option possible. Lors de la correction de ce poème, j’avais le choix de la part des correcteurs entre votre vision de ce vers et celle que j’ai choisi.

Pour les onomatopées du vers 12, j’avais pensé aussi aux tirets et me suis ravisé. J’aime assez l’idée de décrocher un pan du vers pour mettre en exergue ce qu’il signale. Les allitérations que vous signalez ne sont pas voulues, mais, il est vrai qu’elle rende une rugosité tonale comme l’est celle de la pierre.

Le début du poème par cette exclamation : « Des crocs, des crocs, des crocs… » visait à montrer la férocité de la face de ces sculptures grimaçantes. La seconde allitération en f « un corps bouffi qui griffe le beffroi » que vous percevez était par contre voulu.

« Monstrueusement laid… » insistait sur le caractère repoussant de l’imagerie traditionnelle de la gargouille. Rien en elle ne semble appelait l’harmonie tout au contraire y paraît « grotesque » et repoussant.

Les termes « rire » et « glauque désarroi » mis en opposition révèle aussi à eux seuls le caractère grotesque du bestiaire.

Bien vu pour l’humanisation progressive de la gargouille que vous percevez sous l’apparente banalité du fond et le rapprochement de sa tâche sempiternelle avec le mythe de Sisyphe. En effet, c’était l’objectif sous-jacent de ce sonnet.

Piedsenvers, merci. Je voulais qu’à la lecture chaque lecteur puisse se représenter du mieux possible celle que je décrivais.

WallE, merci.

Pussicat, merci. Difficile de plaire à tout le monde. Je ne vois pas en quoi une lettre peu hacher des vers. Le « e » est l’une des lettres les plus utilisées dans la langue française.

Contribution du : 26/05/2015 17:14
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