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Merci de vous être laissé emporter par ce vent.
Visiteur 
Merci à vous, chers membres du Comité d’Edition d’avoir pris le temps de lire, ou plutôt de relire ce petit texte et de le publier.

Merci à vous tous, chers commentateurs, pour vos petits messages sympathiques et enrichissants.

Il est tout de même drôle de penser que ce « vent retenu » ne l’a pas toujours été, une première version ayant été rejetée après les « avis foncièrement destructeurs » de l’espace lecture. Ces avis m’ont permis simplement de me claquer deux ou trois fois le beignet, de froisser et jeter au fond de ma corbeille mon petit ego et de réécrire ce texte sans prétention.

Je remercie donc ces personnes aux« avis foncièrement destructeurs » d’avoir justement un avis, un œil, une cervelle libre de penser, d’aimer ou de ne pas aimer, d’être tout simplement là pour que vive ce site. Et pour que je m’améliore.

Quelques explications peut-être.

Quel est donc ce vent ? Peut-être juste ce que nous retiendrons de notre vie après notre passage sur ce sol, faire du vent, nous agiter pour si peu de choses, poussé, guidé, obsédé, dénaturé par ces désirs cruels ou passionnants, artificiels ou inconscients, stupides mais néanmoins réels et affligeants.

Et ce retard, est-ce ce retard que l’on prend sur la réalisation de ce que l’on entreprend, vivre pleinement, vivre réellement, tenter de nous améliorer, essayer de comprendre notre présence ici, ou de lâcher prise, de chasser ces peurs qui nous tiennent par la main et nous guident plus sûrement que le désir.
Est-ce ce retard qu’a pris la lumière tant attendue, l’amour, Dieu, le simple bonheur ?
Ce retard… comme une attente d’on ne sait quoi mais qui pose sans cesse un lapin…

Merci Lulu pour cette « délicatesse » que vous avez perçu dans mes mots, votre commentaire m’a fait chaud au cœur, d’autant plus qu’il a été fait en espace lecture, donc en aveugle.

Merci Monsieur F pour la « musique ». C’est vrai que « courir à perdre haleine » est un rien convenu, notre inconscient nous resserre bien souvent de ces expressions trop utilisées. Je modifie donc par « courir toujours, à perdre la haine » qui donne un sens nouveau et plus profond, bien en rapport avec le thème.

Merci Vincendix pour votre commentaire. Je n’avais pas vu le vent qui claque les portes. Comme quoi, l’écriture libre est bien souvent aussi inconsciente. En ce qui me concerne en tous cas.

Merci Hersen pour votre passage. Vous avez apprécié pour une raison ou une autre, pour le rythme de ce vent. Je suis souvent face à cette même question : pourquoi ces mots, agencés de telle ou telle façon, hormis leur sens, et malgré notre état d’esprit du moment, nous emportent, nous donnent à voir, à espérer, jusqu’à les aimer… Mystère de la poésie, de l’écriture, de la peinture, de ces sons transformés en merveilleuse mélodie… Mystère de l’esprit qui ne comprend pas tout mais qui parvient parfois à se laisser bercer comme un enfant innocent.

Merci Marite pour votre vision d’une flamme qui vacille. Ce vent qui fait lutter la flamme avant son extinction inéluctable, la petite flammèche de notre conscience, symbole du désir d’être là, du bruit de nos vies avant le grand silence sur le sol nu. Merci pour votre commentaire également très enrichissant.

Merci Robot , pour cette « légèreté », cette idée du vagabond qui voudrait s’attarder est très bien vue, cette âme qui ralentit sa course (cette image est magnifique). C’est très proche de ce que j’ai sans doute voulu exprimé. Un rendez-vous ultime avec le néant sublime.

Merci à tous

Contribution du : 29/04/2016 10:32
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