Oups ! Je n’ai pas retrouvé le fil de remercîments original… peut-être n’a-t-il jamais existé…

@ Annick : et bonjour ! OK pour "paniquer" > "s’affoler" et je vais remplacer l’usé "carrément" par… je sais pas encore. ;=)
Merci d’avoir apprécié ce petit (et très ancien) souvenir du Brésil. C’est bien sûr un pays de contrastes, avec des choses dures à digérer (sans parler du fromage chaud ;=), mais un pays que j’adore. Quand je dis pays, je parle bien sûr des gens. Le décor, aussi joli soit-il, ben… ce n’est que du décor.
Un grand merci pour avoir gouté et apprécié ce texte.

@ Pimpette : Haaaaargh ! Pimpoune, tu n’avais pas encore commenté cette nouvelle ! Alors là je suis vesqué ! ;=)
Je ne t’en voudrai pas de vouloir absolument me transformer en poète… je sais qu’au fond, tu ne veux que mon bien. En réel, le passage des gosses au fromage m’a aussi remué… mais imagines le remue-ménage (boyaux ?), si j’avais avalé le fromage en question ! ;=)))
Un énoooorme bisou à toi.

Merci pour ton merci. Et quand on a pour pseudo Pépito, on ne peut qu'aimer ce pays ! Merci d'avoir fait de moi un voyageur immobile, celui qui s'évade par la pensée. Et puis la lecture, la bonne, la vraie n'est-elle pas faite pour ça ?