Je vous remercie pour tous vos commentaires enrichissants et encourageants.
Le dernier tercet peut paraître un peu curieux mais ce poème est pour moi une affaire très personnelle.
Suite à la concomitance des deux évènements, j'ai voulu indiquer dans ce texte écrit sous le coup de l'émotion, que pour moi Léonard Cohen, l'homme qui a partagé ma mélancolique adolescence, n'est définitivement pas mort...il est juste perdu dans les magnifiques ruelles de Bruges...

Grâce à votre poème, je me figure une Bruges toute poétique. Je n'avais pas perçu de mélancolie vraiment, si ce n'était l'attachement à la ville et à Léonard Cohen. En fait, j'ai surtout ressenti la beauté de l'ensemble.

Merci de vos précisions.