Remerciements à Oniris

J’avais une première fois présenté ce récit qui, s’il plut à quelques lecteurs, méritait d’être remanié ; ce que je fis et le voici qui parut, alors grand merci Oniris !
Je cherchais dans ma tête une image illustrant « l’ardeur « , thème du Printemps des poètes 2018, et il n’en manquait pas entre celle du travailleur, de l’artiste, de l’amoureux et même celle de « l’oisiveté /mettre beaucoup d’ardeur à ne rien faire « . Et moi qui peux regarder tout ce qui vit, fus soudain intéressé par un scarabée avançant à grand peine dans ma cour, et l’idée me sauta ainsi aux yeux !
Avant de remercier chacun de mes lecteurs, je voudrais relever le fait que des « as « des vers en pieds rimés, n’hésitent pas à venir flâner au gré de « vers libérés « , ce qui m’incite à continuer de le faire moi-même ( pas un as ! ), sous des œuvres « libres « magistrales !

Mokhtar ; vous avez bien souri en lisant ce poème qui vous rappelle ceux de Paul Fort ; merci à vous
kreivi ; retourné sur les rives du Nil, vous avez bien ri sur ce poème bien fait ; merci à vous
PIZZICATO ; ce travailleur acharné, « faut pas l’embêter, il pourrait se mettre en boule « ! Un texte amusant ; merci à vous
hersen ; comme nous l’apprit Mokhtar, le « sisyphe coprophage « nous étonne et donne à l’auteur l’occasion de nous servir un texte réussi ; merci à toi
Cat ; mes images te propulsent au temps de l’enfance où ces bébètes te fascinaient ; mon « libre « donne ici de sympathiques images ; merci à toi
Arielle ; une odyssée sympathique où l’auteur se fait « entomologiste amateur « ; merci à vous
sourdes ; un texte « pharaon-onirique « vif, aux images saccadées, et ce héros tourneboulé, qui nous régale durant tout ce voyage ; merci à vous
Marie-Ange ; « pas, un peu, beaucoup «, vos notations grimpent sous mes textes et j’en suis très touché ! Je vous ai procuré un bon moment de lecture en vous invitant sur ce chantier aux images fluides ; merci à vous
leni ; je suis parvenu à te faire rire avec mon scarabée et tu lances “ vive l’humour ! ”, bel hommage pour moi ; merci à toi
Louison ; mes lignes ont su décrire la témérité de Bousier, et provoquer un rythme drôle et enlevé ; merci à vous
Jfmoods ; votre commentaire est signe de qualité pour le poète, aussi puis-je m’enorgueillir d’avoir réussi mon exercice d’écriture ! Vous y voyez comme une ligne départ d’une compétition pour travailleurs acharnés, et un triptyque « savourer/digérer/retourner « et pour finir me faites cadeau de la séquence « scarabée « de Microcosme dont j’avais vu quelques extraits ; vous me gâtez ! merci à vous
Vincendix ; oser glorifier un ramasseur de bouses, fallait le faire ! il est vrai qu’à l’image des abeilles, la bestiole ne regarde pas à l’effort, l’obstination ! L’originalité du sujet t’a plu, j’en suis ravi ; merci à toi
Pouet ; cher poète qui maniez subtilement aussi bien le vers rimé que celui libéré, vous fûtes séduit par cette idée du bousier, en particulier « finition bille à rouler « ! mais mon texte put s’élaguer un peu ? je n’en doute pas, mais la tâche est ardue quand il y a tant à dire … sur une aussi petite bête ! merci à vous
emilia ; ma sympathique animation mêlant visuel/mouvement/odeur vous a plu et ma facétie à le narrer fit de moi un bel exemple écolo ; vous me flattez et je vous remercie

bonjour jlouisgillis
mon bousier vous attiré sous mes lignes, où vous fûtes séduit, non par l'odeur de " l'obèse odorante ", mais par la truculence de mon récit à suivre ce scarabée qui en bave, se frotte à un fainéant opportuniste, perd son chargement, et finit par ne pas pouvoir rentrer chez lui ! Ne vous a-t-il pas épuisé ?
Je suis passé à côté de la vérité sur sa reproduction, mais il me fallut alors rajouter bien des lignes à cette odyssée !
Je vous remercie pour votre visite et notation flatteuse, et espère vivement suivre votre plume dans les colonnes oniriennes !
bien à vous, papipoète