Bonjour à toutes et à tous.

Tout d’abord, merci à vous d’avoir lu, commenté, et suggéré des améliorations pour mon poème. Je vois que le vers « Si nous devons mourir, ami, faisons-le bien ! » Vous a, plus ou moins, tous touché. Pour répondre à la question de Robot je vais vous expliquer ce vers. En fait dans mon enfance j’étais obstiné par une phrase qu’on me répétait très souvent : « Si tu fais quelque chose fais-le bien et jusqu’au bout. ». Voilà d’où est venu ce vers, mais pour dire vrai, sur, qu’est-ce qu’il faut comprendre dans ce dernier ? Qu’est-ce qu’une mort « bien faite » ? Je pense que cela dépend de chacun, par exemple pour mon grand-père, je suis sûr que ça serait de mourir en étant certain que ses petits-enfants se débrouillent dans la vie. Mais pour d’autres ça serait de mourir vieux et entouré de la famille qu’ils sont construits, pour d’autres mourir sans aucun regret, ou encore mourir en laissant « une trace » de leur passage dans ce monde. En fait ce vers veut dire qu’il faut mourir en étant heureux et fier de notre vie, peu importe le pourquoi on est heureux. « Puisque jamais nous ne pourrons comme l’aurore… ». Voilà, voilà.

D’ailleurs à propos du premier vers du dernier tercet la découpe et en 4/4/4 comme ceci « Puisque jamais/ nous ne pourrons/ comme l’aurore »

Merci encore à tous.

Merci pour ces explications ; dans votre liste des morts bien faites, je place perso, une mort rapide et pas trop défigurante.

Je trouve ces sujets -ceux des remerciements- aussi intéressants que les poèmes eux-mêmes. C'est autre chose, tout autre chose, mais passionnant.
Bon,ok ,c'est le principe de base d'Oniris, mais je ne suis pas sûre que tous en aient, en ayons conscience parmi nous les oniriens.
Je m'en vais relire, mon com et votre texte.