Une fois encore, j’eus le plaisir de recevoir d’ONIRIS le fameux sésame, ouvrant les portes de la parution ; et particulièrement de ce poème qui me tenait à coeur ! Merci à toute la communauté !

L’histoire de cette chanteuse des rues est vraie, et je n’eus rien à inventer, si ce n’est le titre des chansons pour faire rimer les vers !
La « fille aux accroche-coeur « me propulsa dans les années 50, quand enfant je regardais en famille comme au spectacle, une femme et son accordéoniste, s’installer sous nos fenêtres ; elle chantait à la lune, son aubade à laquelle répondaient les bravos et quelque pièces blanches lancées à ses pieds . C’était au temps où la musique jouait dans un kiosque, non pas chez nous qui n’avions pas de poste radio …
J’écrivis ce texte sans difficulté, comme si la « demoiselle à la voix d’or « me dictait les phrases ! Je fus content de mes lignes, que je soumis à PIZZI qui accepta sans détour, de mettre en musique, prêtant sa voix ( déjà fragilisée par son accident ) à ce poème qui devint une chanson qui pourrait briller dans les colonnes oniriennes !
Quand le feu vert fut donné à sa parution, j’étais particulièrement fébrile, et appréhendais la réaction des lecteurs … et ce fut la réussite pour notre proposition littéro/chantée !

La chanson de Yves est pour moi, indissociable du texte et je lui adresse ici toute ma sollicitude !

Izabouille ; vous étiez dans une autre époque, touchée et charmée : merci beaucoup
leni ; un texte tout simple au destin tristounet, qu’Yves interprète comme accompagné d’un orgue de barbarie : merci beaucoup
MAFAYARD : vous connaissez l’endroit, mais c’est surtout le ton, les images justes qui vous émeuvent ; merci beaucoup
Queribus ; vous pensez à Piaf et l’écriture vous plaît ainsi que l’interprétation de gens de « qualité « merci beaucoup
Coeurdeloup ; la voix et les paroles sont à l’unisson, pour chanter ce petit air désuet, qui vous plaît ; merci beaucoup
Annick ; le tableau juste et réaliste, avec cette atmosphère démodée vous plaît ; et la « boîte à musique « de PIZZI fait résonner un air du passé révolu que « les moins de 20 ans ne … « merci beaucoup
hersen ; tu ne connais pas Fourvières ? La basilique au-dessus de Lyon, domine le Rhône et la Saône qui se marient à la « confluence « , c’est très beau et le terre-plain après la passerelle, servit de scène en plein-air pour cette chanteuse, dont tu n’aurais pas voulu t’émouvoir ? Elle me bouleversa, et je n’eus pas à forcé le trait ! Merci beaucoup
plumette ; vous situez la scène, tout au bout de la passerelle, et sentez ma compassion pour son héroïne ; oui, bien des gens passaient sans s’arrêter, et tous ceux qui l’écoutaient, ne mettaient rien dans sa sébile ! Et quand elle ramassa sa canne blanche … merci beaucoup
Castelmore ; au bas de Fourvières ou ailleurs, cette chanson ravirait bien des coeurs et donnerait tant de frissons ; merci beaucoup
Cristale ; le duo « papi/pizzi « est un enchantement, vous donne envie de faire un tour dans le vieux Montmartre, pour danser dans les années 50 ! Et si l’un de vos chef-d’oeuvre venait à se chanter, croyez-vous qu’on n’aie envie de danser ? Merci beaucoup
Hananke ; joli texte et musiques nostalgiques montant d’un carrousel où l’orgue de barbarie chante l’union de l’écriture et de la musique ; l’ensemble est mélodieux ; merci beaucoup
Marité ; séduite par la musique et les paroles qui vous donnent envie de vous lever, tourner et danser ; que demander de plus agréable ! Merci beaucoup
Robot ; une scène de rue joliment contée, rehaussée par la musique de PIZZI, que l’on pourrait situer au pied de la « Bonne Mère « ou ailleurs ; merci beaucoup
sympa ; duo « papi/pizzi « parfait pour une chanson nostalgique d’une autre époque ; merci beaucoup
lucilius ; vous voyez parfaitement la scène qui vous évoque une carte postale de 1958 ( pour moi, la chanteuse des rues devait étourdir mes 6 ans en 1955/1956 ), où le « maigre attroupement sur le pavé mouillé « arrêtait quelques gens . Vous voyez un texte « fort « , j’en suis très touché ! Merci beaucoup
Donaldo ; l’endroit t’est familier et tu n’écoutes pas la chanson pour t’imprégner des paroles, et ne pas te laisser influencer par le chanteur ( j’ai longtemps fait ainsi, écoutant après mon commentaire ! ) tu aimes ce poème tout simple ; merci beaucoup
emilia ; l’évocation poétique et musicale de la complainte des rues, pour subsister, sont touchantes et ce « chariot boîte à musique « est une belle image ; merci

- Papipoete a écrit << La chanson de Yves est pour moi, indissociable du texte et je lui adresse ici toute ma sollicitude ! >>

Merci Pierre

bonjour bipol
" le bon vieux temps renaît de ses cendres " à travers les trémolos de Yves qui fait si bien ressortir les émotions de la chanteuse ( mais cher poète, la scène qui put se passer à Paris, a lieu au coeur de Lyon, tout près de la Saône ) et ses vagues durent frissonner aux accents de la jolie fille ; PIZZI aurait pu songer à distribuer les textes, pour que nous les chantions à l'unisson ! merci beaucoup

bonsoir Anje
lire, écouter et vice et versa, et ne pas trouver les mots pour remercier d'un " passionnément ", l'hésitation valait d'être méditée ! Brûler des marrons, pour coller au tableau de " ma " chanteuse, cette touche qui manquait, l'odeur des châtaignes grillées ... tout à fait, car le soleil dardait mais son amie la Bise soufflait aussi un air, mais glacial lui ! Je suis ravi que l'ensemble dépeint et chanté vous ait plu ... ainsi qu'à vos amis ! merci beaucoup

bonsoir Gouelan
Vous avez tendu l'oreille aux accents de PIZZICATO, et lu des paroles qui vous évoquèrent sans déplaisir, une scène que beaucoup connurent, il y a bien longtemps !
On peut encore entendre des échos de musique, mais bien souvent, ils parviennent de chez le voisin qui oublie de régler le niveau du son ...
Je vous remercie pour votre lecture bienveillante, et espère que cet air fredonne à votre coeur une douce mélodie . Merci beaucoup

bonsoir Corto
Vous avez éprouvé un moment de nostalgie, mais si furtif en jetant un oeil et écoutant d'une oreille ; et vous avez pressé le pas comme tous ces gens qui courent, courent ... Merci pour votre passage !

bonsoir Ithaque ;
Vous avez vu tomber en accordéon, les piles de carton perforé d'un imaginaire limonaire, alors que la " fille aux accroche-coeur " retenait quelques passants, pour un instant . Ecoutant PIZZI chanter la demoiselle du " bas de Fourvières ", je crois vous avoir vu, outre en train d'en rouler une petite de gris, déposer une pièce dans la sébile de la môme ( c'est gentil ! )
Hier, j'avais la tête bombardée lors d'une IRM du cerveau, et je remercie PIZZI, car je chantai à tue-tête ses airs qu'il créa pour moi, et les yeux fermés j'étais en sécurité sur un Quai de Saône ...
Je vous remercie beaucoup !