Merci à toutes et tous pour la sélection et les nombreux commentaires qui m’aident à y voir plus clair dans ce poème qui, je le comprends maintenant, reste inachevé.
Cela dit, ce que j’ai voulu, c’est qu’il y ait deux temps dans ce poème : le cheval qui contemple le mouvement de la haie (descriptif) et le souvenir du galop qui revient à sa mémoire ; donc un fort contraste entre le contemplatif et le mouvement.

Tout est parti d’un haïku (comme souvent chez moi…) :

Champ de pâquerettes –
un cheval semble observer
le vent dans la haie

Merci encore à Corto, natile, FANTIN, ANIMAL, Gabrielle, Vincente, Davide, papipoete, Lebarde, hersen, PIZZICATO, troupi, Donaldo75.
Et bon week-end !

Luz

Merci Pouet pour ton commentaire !

Oui, curieux les correspondances : quantiques, peut-être, où interagissent à distances deux particules un jour séparées. Mais bon, il faudrait demander au cheval (lol).
J’aime beaucoup le mot amble, magique pour moi, depuis qu'enfant j'entendais déroulée, presque chaque jour, sur le tourne-disque la chanson de Ferrat/Aragon "Nous dormirons ensemble" :
...J'ai mis mon cœur entre tes mains
Avec le tien comme il va l'amble...
Je ne comprenais pas la phrase...

Là, j'ai réussi à placer l'amble et j'en suis très satisfait...

Merci pour les remarques.
Je n'avais pas vu la répétition avec temps...

Très bonne journée !