Bonjour à tous

J’adresse mes remerciements habituels au comité éditorial et aux correcteurs qui ont permis la parution de « Petits détails d’éternité » ainsi qu’aux lecteurs et commentateurs qui lui ont réservé un accueil globalement positif qui me comble et me réjouit pleinement.

J’avais présenté ce poème en classique. A juste titre il a été déclassé pour deux erreurs incontestables qui, une fois encore, sont passées au travers de mes relectures pas assez attentives.
Donc je cours toujours après le Graal que je désespère d’obtenir un jour !!

Les déserts sont fascinants et envoûtants et qui a eu l’occasion de les fréquenter une fois ne demande qu’à renouveler l’expérience. Il y a tellement de « petits détails » à y observer et découvrir pour qui sait se poser et regarder.

Quelques explications complémentaires à des interrogations ou réflexions relevées ici ou là dans vos commentaires :
- Qui a eu la chance de dormir à la belle étoile dans les dunes, a toujours la surprise au petit matin, de trouver de multiples traces d’une activité intense, autour de son sac de couchage, celles des « invisibles de la nuit » pour la plupart inoffensifs , que le premier souffle d’air viendra effacer.
« Les nocturnes ébats « ne me semblent donc pas hors propos.

- Par ailleurs dans mon esprit c’est bien :
« le gris de la nuit que se colore » ( BernardG et Michel64).
« le tranchant cajole », ( j’aurai pu parler « du ventre » de la dune pour éviter la redondance avec fil) et « …lève une brume d’or » , ont pour sujet Eole, mais vous l’avez compris !
( Castelmore navré pour ces fausses notes qui n’en sont peut- être pas après tout ? )

- Le bousier, « Sisyphe abhorré » poussant perpétuellement sa boule n’est effectivement pas la bestiole la plus appétissante du désert mais sans doute l’une des plus visibles et actives durant la journée ! ( Anje).

- Le fennec, oui j’y ai pensé, pourrait convenir sans altérer la prosodie, mais j’ai préféré le chacal, à mon sens plus apte à se fondre dans la nuit ( hersen).

Je vous remercie, poldutor (bcp+), Anje (bien), Hananke ( bcp-), Draem ( Pst), Corto (bcp+), hersen (Pst), Sympa (bcp+), papipoéte ( Pst+), PIZZICATO (bcp+), Robot (bcp-), Castelmore (bien-), apierre (bcp), Michel64 (bcp), BernardG ( bien+), Louis (bcp), pour vos appréciations presque toutes élogieuses que je prends comme autant de compliments et d’encouragements à poursuivre et tenter de faire mieux.

Elles m’ont valu pour un temps, trois plumes au chapeau…. dont une a disparu sur la fin, suite à un coup de vent sans doute.
Mais qu’importe vous m’avez comblé et j’en suis très heureux.

Merci à tous.

Lebarde

Un petit rien et hop! Tout change!!

Un bcp passe à bcp + ( Merci Michel64) et miracle je retrouve une plume de plus à mon chapeau.
Les algorithmes seraient t’ils corrompus? J’en doute mais simplement rigoureux !!!

Merci encore Michel64, je vais pouvoir passer un bon dimanche sous la tempête annoncée grâce à vous .
Bonne journée à tous.

Lebarde

il m'arriva d'être " déplumé " à cause d'un " pas ", me faisant peine ; mais n'être plus publié depuis novembre dernier, fait beaucoup plus mal, et le message " votre poésie présentée... " devient aussi redoutable que le flash d'un radar ! ( ai-je été flashé ? )
mais tout n'est que subjectivité, tout cela ne concerne que de la poésie ; donc point mort d'homme !
mais cher poète, quel récit ! sur un désert où l'on ne pourrait voir que sable et sable, dune et dune !

Papipoete
Les plumes font bien sûr plaisir mais cela tient à si peu de choses, qu’il faut bien apprendre à s’en passer!

Mais qu’importe en fait il n’y a jamais mort d’homme et les égos ( le mien en tout cas) savent s’en remettre.

Ne plus être publié c’est effectivement plus difficile surtout avec la qualité d'écriture qui est la votre et que j’apprécie souvent.
Mais les « coups du sort » ne durent jamais bien longtemps puisque vous êtes programmé très bientôt.

C’est donc reparti pour vous et bien reparti. J'attends avec impatience tous vos futurs écrits.

Merci papipoete pour ce que vous êtes.
Bon dimanche.

Lebarde

De rien Lebarde. Lorsque j'ai compris que c'était bien le gris qui se colorait je ne pouvait faire autrement que de relever un poil ma note qui avait été entachée de ce doute.
Au plaisir de vous relire.