Le phare

Je remercie comme il se doit le Comité Éditorial pour avoir accepté d’inclure mon poème « le phare », dans le catalogue d’Oniris.
Merci à Marimay pour les corrections suggérées.
MERCI
à tout ceux qui ont œuvré  pour que ma poésie soit publiée après lecture...
à ceux qui l’ont commenté.
à ceux qui l'ont lue.
Merci donc à

Eclaircie (bien-)
Pour vos commentaires, on m’a en effet reproché l’adjectif « joyeux », adjectif qui est je pense logique dans le contexte et qui permet de rimer avec « yeux »

Cox ( un peu+)
vos commentaires donnent votre ressenti du moment, vous me reprochez mes rimes « millionnaires »il est difficile de contenter tout le monde, mes rimes sont riches (en tout cas je l’espère) et conviennent parfaitement au sens du poème.

Anje (bien)
J’ai écrit ce poème d’un jet (avant les corrections obligatoires) et à la lecture du Sorgel, je me suis aperçu que ce poème était en rimes plates ce qui ne semble pas convenir au genre composé. Mon travail était trop avancé pour que je le corrige, mais je garderai en mémoire ce fait. J’apprends à chaque poème et je pense m’être (un peu) amélioré.

Gabrielle (bien)
« l’amour et la gratitude renvoient sur l’intimité
un romantisme qui met à l’honneur la relation du couple dans son intimité »
c’est bien cela, et je regrette un peu de m’être laissé allé à ces « confidences » compte tenu de certain commentaire désobligeant et manquant par trop de respect pour le travail accompli.

Myo (beaucoup)
Merci pour vos commentaires en E.L
Hélas un « e » non élidé !

Angieblue (bien)
Merci pour votre commentaire.
Il « transperce » le brouillard ! Si c’est exactement ce que fait le faisceau d’un phare, cela manque un peu de poésie.

Papipoete (beaucoup)
S’il est vrai que les phares et balises avaient une corne de brume, les bateaux de pêche d’une certaine taille en possèdent une qui les jours de brouillard épais permet de les situer et éventuellement sollicitent du secours. Voici un lien qui confirme la présence de cornes de brume sur les bateaux de pêche. ( c’est assez bruyant!!!)
https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-les-bateliers-de-saint-mammes-cornent-pour-les-soignants-10-04-2020-8297709.php
Amitiés.

Bellini (un peu)

Je passerai sur vos commentaires « acides » pour ne retenir que : « j’ai même noté un ver remarquable -en longs gémissements sa lumière sans cesse- le 1er hémistiche rythmé 1/1/4
étire les gémissements à merveille. C’est la correspondance parfaite entre l’articulation des mots et leur sens. Je n’ai pas souvenir que Racine (excusez du peu) ait toujours fait mieux.
C’est à ce genre de vers qu’on détecte la disposition d’un auteur pour l’âme classique...
Merci, cette phrase met du baume sur mes blessures (d’amour-propre).

ANIMAL
Merci pour vos commentaires encourageants, vous faites partie des quelques commentateur(rice)s qui ont compris le rapport entre mes onze premiers vers et le dernier tercet...
Peut être est-ce là le signe d’une certaine sensibilité intelligente !

Cordialement.
poldutor

Je vous remercie pour les compliments



mais lire le dernier tercet suffit à savoir que le marin dans la tempête et le phare sont des allégories des deux composantes d'un couple très uni.

Je laisse de côté le symbole phallique du phare qui n'a pas lieu d'être ici puisque ce phare symbolise au contraire la femme gardienne du foyer, réconfortante, lumineuse, stable et solide.

Bonjour ANIMAL

"...des allégories des deux composantes d'un couple très uni."
Vous avez en quelques mots explicité ce que j'ai voulu exprimer dans mon sonnet, et en effet il n'y a aucune connotation "phallique" dans mon poème. J'ai voulu célébrer l’Épouse "lieu géométrique" dans un couple uni...
Merci pour votre lecture éclairée de mon sonnet.
Cordialement.
poldutor

Merci Poldutor pour votre retour sur commentaires.

Je voulais juste préciser que ce n'est pas moi qui vous ai parlé des rimes plates. Rendons à César, il s'agit de Bellini qui, c'est dommage, semble avoir effacé ses mots.

Pour ma part, je vous confirme mon impression à savoir que la présentation du phare m'a parue longuette.

Bonnes écritures.
Anje

j'ai attendu que madame papipoète soit réveillée, pour laisser la parole à cette batelière et tendre l'oreille à cette marque de sympathie aux personnels soignants ; oui, assurément il y avait sur les bateaux des cornes de brume !