Bonjour et merci à vous toutes et tous, sélecteurs, correcteurs, lecteurs, auteurs, commentateurs qui faites vivre la poésie et permettez de fabuleux échanges sur Oniris.
Merci pour vos lectures et vos appréciations sur "Là fleur".

EtienneNorvins E.L. (un peu)
C'est le titre qui m'a retenu... et c'est finalement ce que je préfère dans ce texte,...On achève la lecture en ayant en tête des tableaux de petits maîtres érotiques du 18ème. On aurait aimer des images plus personnelles. Dans un proche avenir, peut-être ?
Je ne vous promets rien mais j’essaierai. Me croirez-vous si j’avoue que le titre a été l’élément déclencheur du poème ?
Merci de votre avis.

Lebarde E.L. (passionnément)
La rose et la belle associées, glorifiées et chantées dans ce joli poème classique en trois strophes de cinq alexandrins d’une pure poésie.
Le titre « L’à fleur » est surprenant et laconique mais au bout du compte, il introduit merveilleusement le sujet.
Votre commentaire me réjouit quant à l’aspect poétique de cet écrit. Vous relevez également le titre auquel, je l’avoue, j’ai réfléchi longtemps. Les quintils sont un bon support pour des alexandrins, ils m’ont beaucoup aidée dans le cheminement de mes pensées
Merci pour vos appréciations et la haute notation qui me touchent beaucoup.

Papipoète (passionnément)
Non content de me contempler, de plus en plus près, approchant ton nez de mon parfum, tu me saisis ( me laisse faire ! ), et te voici m'effeuiller jusqu'à l'ultime pétale, qui me voit toute nue ; rose que tu t'accapares jusqu'à son intimité... que je te dévoile de bon gré.
...Le " classique ", c'est sur votre feuille, vraiment fastoche !
Fastoche, fastoche, pas tant que ça ^^ Merci d’avoir déshabillé mon poème avec votre regard de jardinier amoureux des roses.
Vos appréciations me font rosir:)

Ithaque (beaucoup +)
A l'inverse du premier commentateur, ce tableau - fût-il de "petit maître"- me plaît bien.Car, en fait, l'auteure joue avec le désir, exprimé à mots certes feutrés, choisis, mais, pour cette raison, conférant une tension érotique à la situation.
...ce qui fait la puissance de ces évocations : suggérer sans dire crûment, susciter, susurrer etc...
Tu as parfaitement compris l’assise de mon poème et ton avis sur mes tentatives de « suggérer sans dire crûment, susciter, susurrer etc... » me rassure quant à l’effet escompté.
Merci pour ta lecture attentive et pour ce commentaire si agréable.

Hananké (…)
Vous me posez quelques questions auxquelles je vais essayer de répondre de mon mieux.

Un bon poème classique, ma foi, même si quelques trucs me turlupinent un brin. Et frôler mes atours vaporeux comme l'onde : ce comme l'onde m'interpelle, je n'y vois pas de définition qui m'agrée.
L’onde (dans le sens de l'eau) d’un lac ondoie comme une jupe légère qui ondule sous la brise.

Mon ombre sous ton ombre au baume virginal : je ne sens pas bien l'intérêt de ces 2 ombres.
Ceci est une image : l’ombre du jardinier est au-dessus de l’ombre de la rose, quant au baume virginal il n’est que l’eau pure dont il l’arrose en été.

Comme au dernier quintil où l'on me parle de rose et de belles de nuit, 2 fleurs différentes à moins que belles de nuit soit proposés pour la rose, un peu confus cela.
Dans ce poème la rose est personnifiée, jalouse, son désir est de fusionner avec son jardinier pour lui faire oublier les autres fleurs telles ces « belles de nuit » (un variété de fleurs réelle, tout comme les belles-de-jour), elles aussi personnifiées en tant que fleurs « faciles à cueillir » qui débauchent le jardinier toutes les nuits.
Ce sont des images, des métaphores comme j’en emploie souvent dans mes textes, à ne pas lire au 1er degré.

Tout comme les pétales bruns de la corolle blonde et ce goût de mes embruns.
Là, impudique à l’écrit tant que tout est suggéré, je resterai pudique en explications...sous peine de censure...si quelqu’un veut le faire je lui laisse un bout de ma page :)

Au final, un texte plaisant à lire mais à ne pas approfondir car on dirait que l'auteure s'est laissée embarquer sur un chemin tortueux.
Je ne vois pas les choses de cette façon car ma ligne d’écriture a suivi scrupuleusement mon schéma de pensée. J’aurai reformulé mes vers dans le cas contraire.

Un commentateur parle d'érotisme, si c'est le cas il ne me convainc pas.
Je n’ai fait que suggérer cher poète et je regrette de n’avoir pas réussi à vous faire entrer dans mon univers imaginaire un brin sensuel. Oniris n'acceptent pas les termes trop descriptifs en érotisme, il me faut donc créer des effets imagés.
Merci pour votre avis qui m’est précieux.

Bipol (passionnément +)
Un magnifique tableau plein de délicatesse de tact et surtout d'un charme vaporeux avec un saupoudrage d'érotisme qui me plaît bien, je me garderais bien de juger de la forme me contentant de goûter
Qu’un artiste-peintre talentueux voit en ma poésie un « magnifique tableau » ne peut que me ravir.
Le « saupoudrage d’érotisme » est une formule que je vais retenir car c’était mon intention : dire sans dire et dire légèrement si possible.
Merci de vos appréciations encourageantes et pour cette haute notation.

Vero (beaucoup +)
En voici de belles promesses de plaisir et d'ivresse .
De jolis vers et de bien belles images, du romantisme un tantinet coquin et de la douceur qui ne sont pas pour me déplaire. Une belle lecture .
J’aime beaucoup ton regard et tes mots sur ce « romantisme un tantinet coquin » comme tu le dis si bien et puis oui, « de la douceur » qui a plu à la lectrice et auteure romantique et fidèle que tu es.
Merci pour ce joli commentaire, pareil à une prose.

myndie (passionnément +)
De ce beau poème je ne retiendrai que la grâce et la douceur dont il est empreint. Et surtout l'intelligence, la maîtrise et la subtilité avec laquelle tu sais écrire la sensualité, éveiller l'émoi, provoquer la chaleur sans jamais être vulgaire.
Oup’s n’en jette plus je vais rougir jusqu’à la racine ^^
Mille mercis à toi, que pourrai-je ajouter après un tel commentaire et une si haute notation ?

Annick (passionnément)
L'érotisme vu par Cristale : on y voit de l'or, de la blondeur, on y sent des parfums, des fragrances, on y goûte, du plaisir, des lèvres, des caresses. On y vagabonde, on frôle, on cueille, on offre, on effeuille. On y ressent les émois, l'ivresse.
Un commentaire de Annick c’est plus qu’une prose qu’elle vous offre comme un bouquet de roses.
Un plaisir à lire dont je ne me lasserai jamais.
Merci pour ton regard si délicat sur mes mots et cette très haute notation.

Virou64 (un peu +)
Mon commentaire détonnera sûrement au milieu de beaucoup d'autres plus élogieux.
Bien sûr je ne puis que saluer la maîtrise de l'écriture classique de l'auteure. C'est encore une fois un délice de lire cet enchaînement de vers mélodieux, parfaitement écrits.
C'est au thème que je suis moins sensible. J'ai même l'impression d'être un peu dans la peau d'un voyeur, caché derrière la porte et regardant par le trou de la serrure, entendant une déclaration amoureuse qui ne le concerne pas.
Dommage, ça commençait bien ^^. Alors maintenant je me demande si vous détournez le regard devant une scène amoureuse au cinéma...mais non, vous n’êtes pas le voyeur à travers le trou de la serrure, juste le lecteur d’un texte fictif aux métaphores sensuelles qui ne vous conviennent pas. L’écriture oui, le thème non. Tant mieux et tant pis pour mon poème, avec mes regrets d’avoir été punie en notation pour l'audace de mon scénario érotique...
Merci pour votre aimable commentaire.

Emilia (beaucoup)
Un poème qui s’adresse à un « Tu… », coiffé de « cheveux d’or… », invité à cueillir « pour la première fois », cette fleur d’amour à la « corolle blonde et aux pétales bruns » dont les fragrances orientales capiteuses assurent la promesse « d’émois comblés », celle d’offrir « le nard subliminal/Du plaisir absolu » et d’atteindre « l’ivresse » ; cette « rose nue », symbole de « la déesse Érato et fleur de tes pensées » en proie à l’envoûtement sensuel d’un désir érotique dont « les lèvres garderont… » une empreinte mémorable, tout en délicatesse et poésie, avec l’art que l’on doit au talent expert de « Maîtresse Cristale »…
Il m’est impossible d’extraire une partie de ce commentaire plus qu’une autre puisqu’il synthétise l’entièreté de mon poème, mais Emilia est une experte en résumés analytiques avec un rendu stupéfiant de réalité.
Merci pour ces mots déposés avec tant de joliesse.

Bellini (beaucoup +)
Je ne sais pas qui est votre jardinier, mais vos jardins me semblent toujours bien entretenus. Il s’y passe quand même de drôles de choses. Je suis sûr que si vous donnez un coup de pied à un massif, il vous le rend.
...Les atours vaporeux d’Erato sont aussi réglementaires que la forme de ses vers. Du travail bien fait apparemment, des hémistiches galbés, que l’éphèbe récipiendaire devrait un jour vouer au beau culte de la muse.
Votre dernière phrase :):):):)
Ne comptez pas sur moi pour vous donner le nom de mon jardinier, votre épouse risquerait de lui demander ses services et vous m’en voudriez ad vitae æternam.
Merci pour ce commentaire plein de votre bonne humeur et cette petite pointe de coquinerie à dénicher entre les mots.

Miguel (beaucoup +)
Un érotisme torride exprimé avec une délicatesse qui est un véritable tour de virtuosité. On a envie de s'écrier, mais sans l'ironie qu'y met Molière : "Ah, qu'en termes galants ces choses-là sont mises !" Ces vers superbes sonnent comme un chant. Le rythme du quintil libère un souffle, une idée de mouvement, tout à fait en rapport avec le sujet.
« Torride et délicat », voici des mots qui me plaisent concernant la scène qui se déroule dans mon poème. L’usage du quintil m’a beaucoup aidée dans le développement du sujet, qui plus est d’un emploi relativement agréable.
Merci pour vos appréciations, vous m’en voyez touchée.

Inconnu1 (passionnément)
Cristale tu es une poupée russe, et sous la description florale, on peut certes voir la description érotique d'un premier émoi. Mais comme tu as déjà exploré ce thème et que tu aimes explorer des mondes nouveaux et le second degré, j'y vois plutôt la poésie qui vient draguer le nouveau poète. C'est mon interprétation à l'évocation d'Erato. Du coup, je trouve que le poème y gagne en épaisseur.
Voilà, ta vision de mon poème schématise parfaitement la signature que j’ai choisie : "La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “ et que tu l’ais compris ainsi m’est très agréable. Je vais remercier Érato pour sa complicité :)
Un grand merci à toi pour tes appréciations et cette haute notation..


Ferrandeix (beaucoup)
Quoique la poésie érotique ne soit pas vraiment mon truc, je suis dans l'obligation de louer la facture parfaite de ce poème, l'élégance du style et un contenu à mon avis à la hauteur de l'expression par la délicatesse du sentiment, le choix du vocabulaire, la noblesse du ton... Le contenu sémantique tire parfois un peu vers l'hermétisme mallarméen, mais si discrètement que la trame signifiante ne s'en trouve pas affectée.
Comme le sujet n'est pas dans mes affinités, je me permets impitoyablement de descendre la notation à un degré de moins que le maximum mérité, soit la mention "beaucoup".
Aïe ! Et moi qui aime la poésie à l’érotisme raffiné, je n’ai pas de chance face au lecteur que vous êtes. Je pourrais poser la question : « mais pourquoi vous être attardé sur ce texte  à connotation érotique ? » Ah oui, la forme et le style de l’écriture vous plaisent. Me voici réconfortée d’autant plus que vos mots sont des plus agréables quant à la facture de mes vers... nonobstant le fond qui vous gêne un peu. Ah bien oui, il ne faut pas être trop pudique pour apprécier des textes érotiques, bien que le mien pèche plus par excès de sensualité que d'érotisme. Nous sommes loin des écrits de Pierre Louys. Je vous taquine mais c'est aussi mon tempérament.
Merci pour vos appréciations, avec mes regrets d’avoir été punie de mon audace impudique, quand même, un "beaucoup" de votre part est une haute notation. Encore merci.

Myo (beaucoup)
Une rose au parfum envoûtant qui ne peut qu'attirer le regard. La poésie à fleur d'envie, à fleur de mot, à fleur de peau.
Bien sûr un travail toujours aussi délicat et finement ciselé même si le sujet de la rose femme et du désir qu'elle suscite n'est pas nouveau, il est traité avec tant de délicatesse que le charme opère.
Un commentaire aussi raffiné que son auteure à qui j’offrirais bien quelques roses avec plaisir si elle était ma proche voisine. Je sais qu’elle seraient bien soignées entre ses mains.
Merci Myo pour cet agréable commentaire.

Anje (passionnément)
J'aimerais affleurer le vélin comme le cisèle la plume dentellière de Cristale. Mais quelle fleur est-elle avec sa corolle blonde et ses pétales bruns ? De quel mystère est-elle née ? De quels embruns se parfume-t-elle ? Magnifiques quintils, tout simplement.
J’hésite à répondre à toutes ces questions...Je réfléchis et je vous enverrai mes explications par la prochaine malle-poste, si ma bonne conscience me le permet :)
Un grand merci à vous pour ce commentaire souriant et votre haute notation.

Cat (passionnément)
Quand tu joues avec Éros ...c'est avec un raffinement délicieux, assuré. J'aime aussi retrouver ton élégance so chic, qui jamais ne défaille...mes mots-clés pour parler d'une Poète qui titille Érato ...une mention particulière pour le titre qui ouvre quelques vaporeux jeux d'images autour des sens mis en éveil lors de l'affleurement d'une fleur, et cetera...
What else ? ^^
« What else ? » oh mais rien d’autre que le plaisir de découvrir ton commentaire qui me fait chaud au coeur et qui me donne envie d’écrire encore quelque autre opus érotico-floral. Tant de fleurs expriment une sensualité raffinée que je n’aurai jamais assez de mots ni de pages pour les mettre à l’honneur.
Mille mercis pour ton appréciation et cette haute notation.


Merci encore et encore chers amis Oniriens,

Cristale

Le poème est ici :
http://www.oniris.be/poesie/cristale-l-a-fleur-11346.html

Bonjour Cristale

Comme vous l'avez peut-être noté, je ne suis membre d'Oniris que depuis 3 mois. J'ai envoyé quatre poèmes qui ont été retenus. Vous les avez peut-être lus et aurez dans ce cas constaté que je ne suis pas (pas encore, l'espoir fait vivre!) un foudre de guerre, poétiquement parlant mais c'est néanmoins pour moi un vrai plaisir d'avoir vu mes textes publiés, lus et commentés (une fois par vous, je vous en remercie un peu tardivement).
Oniris nous incitant à commenter les textes des autres auteurs, je me suis pris au jeu et j'ai donc commenté des poèmes classiques, néo classiques ou contemporains , catégories qui me "parlent" le plus.
J'ai cru comprendre que la notation permettait d'indiquer si l'on avait aimé: vraiment pas/ pas/ un peu/ bien/ beaucoup ou passionnément le texte lu sans que cela ne vaille jugement de la valeur de ce texte.
Malgré mon admiration pour la forme de votre poème, j'ai eu du mal à en apprécier le fond. Ma formulation du voyeur était certainement maladroite mais il est vrai que j'ai été dérangé d'être convié à un échange amoureux auquel je me suis senti complètement étranger. Et ne voyez aucune pruderie ou pudibonderie là dedans.
C'est ainsi , qu'en toute honnêteté, j'ai noté votre poème en exprimant mon ressenti. J'ai indiqué que je l'ai aimé "un peu". Je regrette que vous ayez eu le sentiment d'être punie par cette notation. Après tout, aimer un peu n'est-ce pas aimer, tout de même? Et si j'avais du vous punir, nous nous serions retrouvés dans la situation de l'élève punissant la maîtresse! Un comble!
Je suis nouveau venu sur Oniris et n'ai peut-être pas encore tous les codes qui régissent la notation. Je constate que de nombreux commentateurs , lorsqu'ils n'apprécient pas un texte, s'abstiennent de noter. Peut-être est-ce ainsi qu'il faut procéder, sachant l'affect que chacun d'entre nous met dans ses écrits, pour éviter de froisser les égos et les susceptibilités?
Quoiqu'il en soit, espérant ne pas avoir été blessant par mon commentaire et par ma notation, je vous renouvelle mon admiration pour votre maîtrise de la versification et de la prosodie et , en inconditionnel de la poésie classique,attends avec gourmandise votre prochain poème dont le thème me "parlera" peut-être davantage, je l'espère.

Virou64

L'important est de commenter, pour faire vivre Oniris tel un fourneau, qu'il faut veiller à ne pas laisser s'éteindre ; comme charger l'âtre régulièrement, venir sous la parution donner son avis ; la trouver agréable en disant pourquoi, ne pas être séduit en disant pourquoi !
" fais du feu dans la cheminée... on est bien chez nous... "
Le plumage n'a aucune importance ( les rémiges ont d'ailleurs tendance à s'envoler... ), mais être lu et commenté est le clin d'oeil qui pousse à ne pas abandonner la plume, et se voir encouragé !

Un grand merci à toi Cristale pour le temps que tu prends, la peine que tu te donnes et la délicatesse qu est tienne pour remercier les lecteurs et commentateurs.
D'autant plus que, depuis Cognacq-Jay, la chose n'a pas dû être aisée

Ah bon, c’était vraiment une histoire de jardinage ? Et le baume virginal sortait vraiment d’un arrosoir ? Je crois qu’il est temps pour moi de raccrocher. Je refuse de me prendre la tête sur les rébus de la poésie moderne, alors si je dois tanguer aussi sur la poésie classique, je ne vais plus commenter que les nouvelles pour enfants. Heureusement, il y en a quelques-unes sur le site.


Bellini

Bonjour Virou64,

Ne vous inquiétez pas, tout va bien et vous utilisez le système de notation parfaitement, je l'ai bien compris ainsi. Oui, j'ai vu que votre inscription sur Oniris était récente, je vous félicite car sur quatre textes présentés quatre ont été retenus et publiés. J'ai beaucoup aimé votre "Le béret"...pour une résidente en Pays Basque comment aurais-je pu résister ?...Bravo !

Quand j'évoque mes regrets d’avoir été punie en notation, c'est une boutade, ceux qui me connaissent bien savent que j'ai l'humour et le sourire faciles et, par dessus tout, toujours amicaux.

J'attends le plaisir de découvrir un nouvel opus, classique, tant qu'à faire :) de votre plume.

Merci pour cet aimable retour sur mes mots.
Cristale

Merci pour ce retour papipoète.

Encouragée, je l'ai été depuis mon arrivée sur Oniris où j'ai rencontré de belles gens avec qui j'ai eu de beaux échanges, j'ai découvert de bons auteurs, de beaux poèmes, de beaux textes.

L'essentiel est de garder ce plaisir réciproque d'écrire et de recevoir les avis des lecteurs.

Au plaisir de vous lire cher papipoète.

Cristale

Ah myndie, les studios de Cognacq-Jay ne sont plus ce qu'ils étaient.

C'est la crise partout, même le champagne de la Veuve Clicquot a été remplacé par du soda-citron. Quant au matériel informatique, on en est toujours au minitel et à la machine à écrire à ruban..tu vois un peu :)

Une histoire de jardinage ?...bon sang mais c'est bien sure !
What else ? ...comme dirait Cat

"Si tu n’as pas besoin de gratter ce que tu lis, c’est que ce n’est pas de la poésie." Votre signature me dit plus que vous ne voulez me faire croire.

Courage Bellini, un jour vous finirez pas comprendre mes poèmes. Demandez à votre femme, je suis certaine qu'elle pourra vous expliquer cette histoire.


Cristale

Bonsoir Cristale,

Entre ici… ! disait Malraux devant le cimetière du Panthéon.
Votre forum ne mérite pas qu’on entende couiner la grille, alors plutôt que d’y voir un cadenas la condamner, j’y passe en coup de vent. Au moins ai-je le sentiment de ne déranger personne.

Ma signature m’a été inspirée près de l’Everest, dans un monastère népalais où j’ai mes habitudes, un soir en lisant votre poème sur mon matelas à clous. J’en ai cassé deux.

Ma femme, elle, préfère le calme floral des jardins français. Dans ses lettres, elle ne me parle que du nouveau jardinier, un anglais un peu bourru qui s’obstine à l’appeler Miss Nora Chatterley. Elle s’appelle bien Nora, mais c’est quoi ce nom pourri qu’il lui a inventé ?

Pour en revenir à votre poème, je persiste à croire à la version d’une femme déguisée en fleur, plutôt que l’inverse. Mais bon, ayant lu votre poème, ma femme me dit que le jardinier arrose aussi les fleurs des voisines. Selon vous, la photo est publiable ?

Bellini
en coup de vent