Bonjour à tous

A la demande de Lulu je viens vers vous au sujet de ce texte

Je remercie le CE et tous les membres qui on lu et commenté ce poème ambigu pour certains

Je précise que la vipère sur la toile d'araignée est bien ma mère dans mon inconscient

Je voulais ajouter que j'ai tourné la page de mon traumatisme psychique et de mes redondances

Bonjour Vincente ! Après avoir lu "Devenir papillon" j'étais très perplexe et ne trouvais pas de mots pour commenter alors que la forme m'apparaissait agréable au travers l'ensemble des mots, du rythme et des rimes s'accordant à créer une atmosphère quand même particulière ... "poème ambigu" dites-vous, c'est en effet le terme qui convient. Avec l'éclaircissement apporté ci-dessus, j'ai relu le poème et tout m'est apparu plus simple, la perception et le ressenti ont rejoint la forme. C'est une réalité que les traumatismes subis pendant les premières années de l'enfance, surtout quand ils sont infligés par ceux qui nous sont le plus proches, laissent des marques indélébiles difficiles à estomper dans la construction d'une personnalité solide. L'écriture est un remède ... et j'espère que ce poème vous a libéré. Mais je sais que, bien longtemps après avoir réussi à évacuer les douleurs, elles peuvent encore se manifester mais cette fois dans le subconscient au travers de certains rêves ... c'est normal je pense.

Bonjour Marite je vous remercie de l'attention nouvelle dee votre lecture de mon poème, je me suis Auto-psychanalysé grâce au déchiffrage de certaines de mes peintures par l'écriture et maintenant après toute une vie déstructurée et plus de vingt ans de dépressions je suis sevré de médicaments de souffrances et de psychiatre ce qui est miraculeux j'ai changé de pseudo et ma famille et Oniris sont libérés de mes redondances pénibles

Il n'y a pas de meilleur traitement que d'avoir la volonté et le courage de s'auto-pschanalyser et de trouver soi-même, après bien des tâtonnements, la faille par laquelle on peut s'échapper et devenir "papillon" ... J'en suis très heureuse pour vous. Avec cette "clé" que vous nous confiez, je vais relire vos textes publiés ...

Merci Marite