Merci à toutes/tous pour vos commentaires…

Un peu perdue dans les catégories, j’avais placé ce « testament » en classique tout en suggérant un reclassement s’il ne correspondait pas aux critères, c’est pourquoi il a été finalement mis en contemporain

Merci en tout cas pour toutes vos précisions sur la forme à respecter. Et merci pour vos partages de ressentis, au-delà de la forme…

Myo,
Pouvez-vous me préciser le pourquoi du 11 pieds au 13ème ver ?

Gil,
Oui vous avez raison, ce poème (parmi d’autres) était un essai, j’avoue que depuis je suis passée au libre, qui me convient beaucoup mieux

Polza,
Oui effectivement, bien que le mot « mort » ait été écrit au pluriel, dans mon esprit, c’est bien au singulier qu’il doit se lire, une bête erreur…

Miguel,
C’est vrai bien souvent les « prêcheurs d’au-delà » ne peignent pas la mort ainsi (souriante) et c’est le pourquoi du « loin des prêcheurs d’au-delà ».
Je n’ai pu m’empêcher de sourire sur la suite de votre commentaire et surtout au « petit côté ado en crise » (à vrai dire, j’ai même franchement rigolé)… bah, que voulez-vous, je ne sais parfois plus vraiment quel est mon âge, ceci explique peut-être cela…
Et puis, je suis au final entièrement d’accord avec vous sur les oiseaux, les écureuils et les arbres qui peuplent tout aussi bien les cimetières. Ce poème, écrit il y a quelques temps, m’apparait aujourd’hui un peu différent. Peu importe au fond la façon dont mon corps sera « ensuite » « conso/sum(m)é » puisque, de toute façon : Je serai toujours là…

À mon avis Myo a considéré que l’ouie de épanouie était une synérèse. Pour moi pas de soucis diérèse mais le principal intéressé répondra sûrement mieux que moi !