Bonjour,

Je tiens à remercier le C.E d’avoir publié ce texte ainsi que les commentateurs d'avoir pris le temps de laisser leur impression de lecture. C’est une petite nouvelle écrite suite à une discussion avec mon amie, consultante en management : la phrase du titre vient d’elle en réponse à un de ses collègues spécialistes de la découpe de cheveux en mille-vingt-quatre. Elle m’a tellement fait rire dans le contexte des consultants que j’ai eu envie de la mettre de côté dans mon catalogue de délires professionnels.

Bon, j’arrête là la machine à souvenirs et je réponds comme je peux à vos commentaires, en attendant la pousse des fleurs de mon jardin sous le soleil levant.

@LeopoldPartisan : je n’avais pas l’ambition d’expliquer la phrase de Karl Marx dans ce texte ; j’ai assez donné dans la dissertation de philosophie politique durant mes études pour m’affranchir de cette contrainte quant j’écris une nouvelle. Ce n’est qu’un exergue.

@cherbiacuespe : je crois que George Orwell a nourri mes premières lectures éveillées.

@chVlu : oui, on est dans la fable, du moins c’en est l’esprit.

@Angieblue : je crois que ton commentaire permet d’expliquer à LeopoldPartisan le termes « petits chefs à plumes numérique » mieux que je ne le ferais. Et merci d’avoir expliqué également le message derrière la fable.

@Robot : oui, les androïdes n’ont pas de raison d’être moins cons que nous vu qu’on les a créés.

@Ingles : je n’ai pas abordé les trois lois de la robotique car dans le cas présent il n’y a pas lieu vu que jamais l’humain n’est menacé ni l’androïde. Asimov n’est pas trop dans l’esprit de ce texte ; cependant, j’ai écrit une nouvelle publiée ici en hommage à ce maitre de la science-fiction : http://www.oniris.be/nouvelle/donaldo75-quatrieme-loi-4916.html. Elle tourne autour des trois lois de la robotique. Je serais curieux d’avoir ton avis quant à la couleur asimovienne de cette nouvelle.

Encore merci à toutes et à tous,

Donaldo