Bonjour à tous

Et comme de coutumes, un grand merci au C.E. Du site pour avoir accepté la parution de ce texte.

Ce poème fut le premier que j'écrivis après une quinzaine d'année d'arrêt de toute écriture poétique mais la promenade sur ce môle et ses vieux saules gémissant, déclenchèrent en moi une impulsion irréversible.

Je reste assez surpris de l'accueil dithyrambique que ce texte a connu.

GABRIELLE : vous résumez ce long texte en peu de mots justes et de plus en E .L. Merci

SOCQUE : merci de votre commentaire. Le dernier quatrain vous apparaît pesant moraliste, soit, mais c'est ce que je pense, on va souvent chercher bien loin ce qui est près de nous mais c'est peut-être la vieillesse qui me fait dire cela.

ANNAP : Ma corde d'airain est en réparation le temps d'une ode à la nature mais j'espère qu'elle sera réparée pour dans une quinzaine si...

PIERALUN : un commentaire semblable venant d'un auteur tel que vous me comble de plaisir. Je vous remercie simplement et sincèrement.

JOHANSCHNEIDER : merci d'avoir été conquis par la douceur et l'élégance de mon texte.

VERO : merci de votre passage mais je ne peux pas comprendre que la nature vous laisse de marbre. Perso je vibre de tout mon corps à son contact et ne pourrait me passer de mes longues promenades.

CRISTALE : merci de votre passage et d'avoir apprécié ces jolies alexandrins fluides.

PAPIPOETE : Oui, nul besoin d'aller chercher l'éden dans l'au-delà, il existe bien sur cette planète mais il suffit de vouloir le trouver.

DUPARK : il faut prendre le mot peintre dans son acception de contemplateur et pas uniquement avec la palette et le chevalet.Merci de votre passage.

BEL13VER : vous m'aviez déjà dit de pareilles paroles dans le cimetière paru il y a quelques années et toujours sur le site.

SENGLAR : il ne faut pas vous sentir coupable de ne pas avoir savouré ce poème, il en est ainsi de tous les textes, certains aiment et d'autres moins. Ce qui compte pour moi est comme en politique, qu'une majorité se dégage.

LOTIER : oui, c'est exactement cela une fusion entre l'homme et la nature.

JULIEN09 : bon résumé en peu de mots.

INCONNU1 : trop de contraintes au classique Sorgel-Oniris, ça finit par tuer l'écriture poétique mais tout n'est point perdu, je retomberai, peut-être, dans mes travers.

ORNICAR : encore une très belle analyse de mon texte.
Vous avez entièrement raison de souligner les banalités de ma promenade, banalités que je souligne dans le quatrain 7. Tout cela pour vous dire que ça dépend surtout des yeux qui regardent son environnement : juste un extrait d'un texte
que je proposerai plus tard :

Car tous les lieux banals ne sont que poésie
Contemplés ou frôlés par des yeux pénétrants :
Des arbres morts, des champs sans fleurs, des vents errants
Possèdent pour l'ascète une autre fantaisie.

Bravo pour votre dernier paragraphe très vrai et beau entre l'extraordinaire et la simplicité qui est ma philosophie de vie.

Merci à tous les commentateurs en attendant de vous lire.

Bonne fin de journée

H

Bonjour et merci Ananas de votre passage sur mon môle.

Et d'avoir apprécié votre lecture dans une forme qui, je sais, ne vous
sied pas très bien.

J'ai voulu changer un peu de l'engagement mais ce n'est qu'une
parenthèse si...

Bonne journée.

H