La pie, Etretat, non ? Et moi qui croyais qu'il y avait des adeptes de la peinture parmi vous et qu'il y en aurait au moins un.e pour mettre les autres sur la voie comme cela se fait souvent dans les commentaires. Mais bon, vu mon niveau culturel très moyen, même en poésie, je ne peux vous jeter la pierre.

En tous cas, merci aux vaillants commentateurs qui ont eu le mérite de s'attarder sur une poésie qui, déjà avec les clefs n'est pas immortelle, mais alors sans...

J'admire la faculté de Papipoète à commenter le pire et le meilleur de nos écrits avec une grande égalité de traitement et de toujours parvenir à en tirer quelque chose et à en extraire des liens.

Heureusement que je vous bien aime Corto et que Sylvie Vartan me rappelle quand je draguais dans les auto-tamponneuses, parce qu'entre "jadis" et "bon courage", j'ai déjà l'impression d'être en train de claquer du dentier en disant des conneries avec Donaldo ; vous viendrez bien émietter un petit biscuit avec nous pendant l'animation ?

Vous brulez Gino, vous brulez, et vous trouverez la petit ombre de la pie dans le tableau, bien vu sans l'avoir vue.
Merci de nous parler du recueil de PN, et merci de m'avoir fait rire avec mon "horrible titre".

Sur fond de plumage ying yang, Ramana fait honneur à son pseudo et a les chakras très ouverts : j'ai effectivement écrit ce poème durant le 2ème confinement lié au covid et il s'agit donc de mon ressentit du tableau pendant cette période précise. Bravo.

J'aime les corvidés et si j'avais du écrire sur ces oiseaux indépendamment du tableau, j'aurai exprimé les choses différemment, ...mais peut-être pas mieux.

[Modéré : passage dénigrant Corto et son commentaire.]

Bonne journée à tous.

bonjour fanny
" le tableau la pie de Monet " à Etretat, m'est comme bien des oeuvres picturales ou littéraires, complétement inconnu ; en exagérant un peu, je pourrais dire que " la Joconde, l'origine du monde, le radeau de la méduse, le penseur de Rodin... " percutent mon esprit, mais ce fameux corvidé ne m'évoque rien, et pourtant cet oiseau m'est visiteur coutumier avec " maître corbeau ", juste sous ma fenêtre sur jardin.
Merci chère poétesse de ne pas m'en vouloir, face à mon ignorance ; mais quand la clé du poème n'ouvre pas le bon tiroir de mon esprit, je tente de tracer un chemin où je puis m'aventurer sans froisser l'auteur.
Depuis 2013, chaque jour sur Oniris, je m'instruis, et comble peu à peu ainsi l'abysse de mon inculture.
Continuez de laisser votre plume courir sur le vélin, surtout ne la freinez pas...
papipoète