Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Retour sur : Silence affamé
Onirien Confirmé
Inscrit:
22/03/2023 01:07
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 304
Hors Ligne
La première pensée que j'exprime est pour les auteurs de tous les commentaires qui m'enrichissent de leurs ressentis.

Je n'ai pas l'habitude d'officier dans l'exercice auquel je m'attelle, je souhaite que vous me pardonniez mes errances.

Contribution du : 17/05/2023 00:21
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Retour sur : Silence affamé
Onirien Confirmé
Inscrit:
22/03/2023 01:07
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 304
Hors Ligne
Par où commencer ?

Geigei, oui je reconnais que cette répétition du "en". J'ai essayé plusieurs formulations qui ne m'ont pas satisfait. Encore maintenant, je ne vois pas de solution autre.

Papipoete, je reconnais que l'absence de ponctuation (et de majuscules de début de phrase), cette absence (volontaire) peut troubler. C'est un long travail de réflexion sur la liberté d'interprétation d'un texte. Travail qui a débuté pendant ma scolarité sur les études littéraires : le comment du pourquoi tel ou tel a interprété ce mot à la place d'un autre, comment dans l'histoire du poète sa franche camaraderie ou un drame a influencé ces écrits qu'il retranscrit par une image plus forte à ce moment du texte. J'aime la liberté des commentaires que j'ai lu sur le texte présenté à vos esprits.

Contribution du : 17/05/2023 01:15
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Retour sur : Silence affamé
Onirien Confirmé
Inscrit:
22/03/2023 01:07
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 304
Hors Ligne
Je livre ici une interprétation (qui en vaut une autre).

Peut être, le narrateur où la narratrice, a-t-elle subi une radicale (merci Geigei) déception amoureuse qui la poussent à fuir l'humanité (misanthropie).
Comment ne pas être intime quand nous avons notre souffle dans les cheveux d'autrui.
Alors dans cette déception amoureuse, la narratrice aurait consommé d'autres corps pendant que toujours son coeur ne cesserait d'être pris dans la tourmente de cette histoire achevé mais toujours présente cherchant une faute (existante ou pas) qui aurait conduit à la rupture.
Peut être que la narratrice consomme ces derniers restes de son coeur, dévore sa propre part d'humanité.
Quand aux lumières, ce seraient celles de l'être anciennement aimé, qui, trop brillant d'un pouvoir artificiel et malsain enfin exposé à la vue et la compréhension de la narratrice attise un sentiment inverse de celui de départ de la relation.
Ces à genoux seraient des moments de faiblesse, de doute, désespoir.
Ne tendez pas la main, âmes charitables, ou bien vous l'ancien(ne) amant(e), car une faim ambigüe rode qui méchamment vous dévorerez ou alors une consommation de chair, pour oublier une autre chair entre espoir et désespoir.





J'avoue que les commentaires de Socque, pour sa proximité avec le sens que je vois à cette composition me touche particulièrement, de Vincent pour sa simplicité, sa sincérité (ce qui ne veut pas dire que je pense que les autres commentaires ne sont pas sincères).

Contribution du : 18/05/2023 08:21
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023