Merci Oniris d’avoir permis à "La photo" d’être exposée en plein jour, merci chers Commentateurs de vos regards bienveillants.

Lebarde
« Tout est en subtiles allusions , en nuances délicates et en souffrance refoulée, dévoilées par une photo. En filigrane un sujet « leitmotiv « qui, comme à l’habitude distille des souvenirs enfantins plein de tendresse et de tristesse »
Je suis toujours ravie de vous retrouver sur mes pages cher poète. Eh oui, un sujet « leitmotiv » comme autant de nuances de gris-bleu qui fait son chemin à travers ma poésie. Merci de l’avoir suivi ce chemin, mes vers se nourrissent un peu plus chaque fois de vos ressentis et de vos propres émotions.
Mille mercis pour autant d’attentions.

Geigei
« L'émotion, une crue d'émotion montant à chaque vers, débordant sur les quais de mes certitudes, emportant les ponts que j'avais bâtis sur des piliers futiles, arrache au dernier vers - ce dernier vers ! - les rives de ma légèreté, ses arbres inutiles.
Je vous dois quelques larmes. »
Mon intention n’était pas de vous faire pleurer, la façon dont vous le dites est très touchante. Je suis heureuse d’entendre dans vos mots l’expression d’une émotion intense en écho à ma propre émotion que j’ai essayé de partager avec mes lecteurs. Votre commentaire n’en est que plus adorable.
Un grand merci pour vos hautes appréciations.

Polza
« peut-être que vous avez le don de susciter en moi des émotions qui me touchent… simple et complexe à la fois, c'est musical, les mots s'entrelacent les uns dans les autres avec une fluidité qui rend la lecture plus qu'agréable.
La nostalgie est décrite à merveille et les formules font mouche. »
Moi, c’est votre commentaire qui me touche et je suis ravie d’apprendre que la lecture de mon poème vous a ému(e ?) Musicalité, fluidité, simplicité, complexité, émotions… vos appréciations me comblent et m’encouragent à poursuivre mon cheminement poétique.
Un grand merci à vous.

papipoète
« nul besoin d'encyclopédies ni second ou troisième degré ; point d'écriture inclusive mais des mots qui viennent au coeur, quand sous les yeux de l'héroïne, passe cette photo... même pas de sens caché, rien que l'émotion. »
Vous aimez ma façon d’écrire cher poète et j’en suis comblée. Je pense que l’on peut exprimer des choses profondes et parfois complexes avec des mots simples. Moi non plus je n’aime pas être obligée d’ouvrir un dictionnaire tous les dix mots d’un texte, cela nuit à la lecture et casse le rythme. Pas de sens caché non plus, point trop n’en faut, bien que j’aime user de métaphores parfois. Mais c’est comme tout, cela dépend du dosage.
Merci sincèrement de votre présence sur ce poème ainsi que de vos hautes appréciations qui me touchent.

Ornicar
« Un poème à fleur d'émotions qui me ramène immanquablement sur la plage de "L'entre-rêve" ou dans la chambre close de "Leitmotiv" ... les mêmes mots simples aussi, qui parviennent, en effleurant à peine la réalité des choses, de la pulpe du doigt, à dire l'indicible.
J'aurais aimé en apprendre un peu plus sur cette photo...J'aurais bien vu deux ou trois vers d'introduction avant cette plongée dans les eaux profondes du souvenir. Ici, la photo se résume à un "papier glacé". Glacé comme peut l'être la mort. »
Vos références à deux autres de mes poèmes publiés assez récemment me sont des plus agréables, je pourrais dire qu’ils ont un lien commun… Si je ne mets jamais de vers d’introduction c’est pour laisser le lecteur se faire sa propre idée sans l’influencer vers une direction ou une autre. Mais pour ce qui concerne « la photo se résume à un "papier glacé"  Glacé comme peut être la mort», effectivement c’est le cas…
Merci beaucoup pour vos hautes appréciations.

EtienneNorvins
«  l'intense silence intérieur qui s'impose à la lecture de votre texte - et plus encore après la coda du dernier vers… J'y retrouve ce qui m'avait déjà ému aux larmes dans Liens Secrets ou Cailloux Blancs. » 
Me voici comblée de savoir que vous vous souvenez de mes poèmes désormais absents de mon catalogue (en vue d’un recueil en cours d’édition). Ils ont laissé une petite trace dans votre mémoire et j’en suis vraiment très touchée.
Merci d’avoir également apprécié celui-ci en le soulignant d’une haute notation.

Provencao
« ce plaisir spécifique de penser, de lier et d’évoquer pour raconter, plaisir dont la rêverie de l'émerveillement donne le modèle »
Et toujours ce plaisir à lire vos commentaires tellement poétiques que je ne m’en lasse pas.
Un grand, très grand merci à vous chère poétesse.

Robot
« Le premier quatrain ne m'a pas particulièrement bouleversé...Par contre je suis enchanté et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire et dire les trois quatrains suivants. »
Je n’ai peut-être pas assez bien formulé ce premier quatrain, le lecteur apprécie selon sa propre vision. L’essentiel est que vous avez aimé les trois autres, j’en suis ravie et je vous remercie de votre sincérité.

Skender
« des alexandrins cisaillés dans la roche la plus pure et qui s'écoulent sans aucun soubresaut pour une lecture parfaitement fluide. En ce sens la pureté du poème et de sa structure fait écho à celle du thème, d'une grande justesse et pudeur »
« La poésie est avant tout le langage des émotions »
Voici une jolie définition de la poésie qui me plaît beaucoup. Je suis ravie que vous ayez apprécié votre lecture, ravie de la façon délicate dont vous l’avez commentée et notée également.
À bientôt sur vos lignes.
Et un énorme merci !

Myndie
« la douceur de ces tristesses dont l'âme aime à se délecter... Pour le coup, diabolique poétesse de la dentelle, tu me laisses sans voix, moi la bavarde!
Te lire est toujours pour moi la promesse de la plus belle des émotions. »
Eh bien ! Quels compliments ! De quoi me laisser sans voix moi aussi ^^
Merci mille fois pour ces hautes appréciations.

Cyrill
 »C’est enchanteur, on s’émerveille et le cœur bat, sauf le mien, à ces termes superlatifs. Un détail qui surprend : bouton de fièvre, orgelet ou ne serait-ce que cicatrice m’auraient semblé de l’or pour la poésie. C’est sur l’imperfection qu’un regard se porte et peut transcender le beau.
...la banalité élégiaque d’un sujet convenu, qui aurait mérité d’être franchement dépoussiéré. Je ne crois pas à cette photo. »
Ah ! mais non Cyrill ! Nul orgelet, cicatrice ou bouton de fièvre sur le visage de cette photo, que je ne laisse jamais prendre la poussière, photo qui existe réellement et que je regarde chaque jour, depuis bientôt dix ans, un visage d’ange parti bien trop tôt rejoindre les étoiles. Laissons battre les cœurs car il n’est rien de plus terrible que le bruit du silence d’un cœur qui s’est arrêté. Et le vôtre, je le sais à vos écrits, bat très fort, sauf à mes termes superlatifs j’en suis désolée.
Merci beaucoup pour vos appréciations.

Miguel
« Une musique sur le mode mineur, une élégie d'une grande beauté, des vers comme "Et l'émerveillement qui fait battre les cœurs" : en voilà un, d'émerveillement. »
Et la musique de votre commentaire berce mon cœur comme une feuille portée par un doux vent d’automne.
Mille mercis à vous.




Encore une fois merci à Oniris de permettre à ma poésie de voir le jour, merci à tous et toutes de me faire l’honneur de votre présence sur mes pages et du temps consacré à m’offrir vos avis et appréciations.


Petit cadeau

Citation :

Mon cœur s’émeut d’un malheur réel, comment pourrait-il en être autrement ? C’est probablement de ce réel insupportable que je tente de me distancer.
Ici, c’est de la poésie que je viens chercher pour émouvoir une autre région entre l’esprit et le cœur, peut-être.
Loin de moi l’idée que votre poème en soit exempt, de cette poésie. Ce n’est pas celle qui me touche le plus et je crois que vous l’avez compris.
Merci Cristale pour votre retour à chacun des lecteurs, tout en courtoisie et délicatesses.

Demain dès l'aube, j'irai écouter cette chanson que Cristale me fit découvrir, voici quelques lunes...
https://www.youtube.com/watch?v=sNE7t8Cyt6I

Merci pour votre retour ! Et peut être nous tiendrez-vous au courant sur les références de ce recueil en préparation ?...

Merci Cristale pour ce retour qui lève un coin du voile.
Je me disais aussi...

"C’est probablement de ce réel insupportable que je tente de me distancer."
Bien sûr j'avais compris. Il est parfois nécessaire de prendre des distances pour se protéger, j'en sais quelque chose mais quand ça vous touche personnellement vous n'avez pas trop le choix que de faire avec. La seule sauvegarde est de transformer le laid en beau et c'est ce en quoi la (ma) poésie est la (ma) meilleure alliée.
Merci pour ce gentil retour Cyrill.

Lune après lune le temps passe cher papipoète et rien ne change vraiment. Vous vous êtes souvenu de cette chanson et j'en suis vraiment touchée.
Merci pour ce joli re-partage.

Je passerai une annonce le moment venu cher poète EtienneNorvins
Merci de votre retour.

"Je me disais aussi..."

Ben...voilà, c'est comme ça.
Merci encore Ornicar.

Merci pour le retour Cristale. Oui, votre poème m'a ému pour répondre à votre question.