Beaucoup de gratitude pour ceux et celles qui ont lu mon texte, et un merci particulier à Cox pour ce retour si détaillé !

Je n’avais pas remercié après mon précédent texte, mais la gratitude est égale. Je me sens chanceux de pouvoir faire partie à nouveau de cette communauté et de pouvoir m’y investir ! Les changements de vie, ça a du bon...

Pour en revenir au texte. Je l’ai pondu juste après avoir terminé la lecture du Château de Kafka. Ce n’était au début qu’un petit exercice d’écriture matinal, mais j’ai pris goût à ce qui sortait de moi.
J’ai été marqué par le texte de Kafka, en particulier sa capacité à écrire tout un livre sur quelqu’un dont on ne sait presque rien, ni même le nom. En plus, il n’y a pas de véritable intrigue, ou alors elle ne va pas jusqu’au bout... en tout cas elle ne correspond pas aux intrigues habituelles. Un livre hors norme qui me fait encore aujourd’hui réfléchir sur la portée de la littérature et la nécessité de briser les codes.

Lire que mon exercice Kafkaiën est réussi me remplit de joie.
Comme le dit Cox, il y a un goût d’inachevé et une certaine frustration en terminant la lecture, c’est la même frustration que j’ai ressentie en terminant le Château, elle est voulue, même si j’entends que j’aurais peut-être pu/dû élaborer tout de même certains aspects. Le récit de Kafka se termine aussi en queue de poisson, quoique le dénouement, si on peut appeler ça un dénouement, est peut-être un peu plus prononcé que dans ma nouvelle.
C’est peut-être une facilité... comme souvent, lorsque je suis arrivé au bout du texte, j’ai senti que c’était la fin. Mais votre commentaire me donne envie de la reprendre pour me confronter à cette éventualité, une paresse inconsciente ? Une lâcheté devant le dénouement ? Ce ne serait pas impossible.

Et merci Cairotte pour les remarques, j'adore qu'on m'aide à relever les erreurs et les "pourrait mieux faire"!

Et grand merci Hersen pour ton commentaire qui m'encourage à lire plus de Kafka (je vais m'y mettre tout bientôt!)

Bonjour Neojamin, merci pour ce retour.

L'impression d'inachevé que vous décrivez ne m'est pas apparu en vous lisant.
La situation étant incompréhensible par nature, on attend pas de dénouement particulier. Difficile de dire si la narration est complète, ou, pour reprendre le sujet de votre nouvelle, quand le problème est résolu.

Un second volet m'eut toute fois ravi ! Je ne doute pas que l'exercice soit impitoyable.

P.S.
Comment ne pas repenser à l'apprentissage des mathématiques (je vous le demande) avec ce texte ?
...S'appliquer à résoudre invariablement de nouveaux problèmes sans avoir conceptualisé leur application, leur finalité...

Votre allégorie est ouverte, laissée libre à toutes interprétations.

Merci ! Je ne pense pas avoir envie de faire une suite... mais qui sait ! Content que la nouvelle ouvre des horizons !
Bien à vous