Merci à tous ceux qui ont pris la peine de lire cette courte nouvelle.
C'est un récit que j'ai écrit, il y a quelques temps, quasiment d'une seule traite.

Jaimme => Ok, je vais essayer de travailler l'introspection et le jeu des sentiments.

Myriam => Je vais bien sûr tenter d'améliorer mon expression mais pour certaine pensée, je pense qu'être un peu familier rend la chose plus vrai. Mais c'est vrai que cela me gêner dans le sens où le champ lexical s'en trouve modifier, ce qui peut emmener comme ici des possibles incompréhensions.

Lapsus => c'est en effet quelque chose de plus ou moins intime et j'ai brodé autour. Ce genre de texte on accroche ou pas...

Brabant => Je suis patient et j'essaye d'apprendre de chaque experience.

Brabant, Florilange => Le manque de mots, c'est une sale manie de ma part, j'ai tendance à oublier et je le note pas forcément à la relecture. Le "de" et les doubles négations passent alors malheureusement à la trappe, je vais essayer de faire plus attention à ces détails à l'avenir.

Florilange => La rédaction en automne c'est juste que j'ai écrit cette nouvelle en automne, j'ai pas réfléchi plus loin. Et pour l'histoire de la gifle, c'est une manière de quitter le monde des rêves, d'arrêter ce jeu en quelque sorte pour retourner à la réalité.

Merci, Arckhangelos, de ces explications sur votre texte.
Pour l'automne, je comprends fort bien. Je ne voulais pas faire 1 remarque méchante, c'est juste que cela fait partie de ces clichés tenaces : le coeur est guilleret au printemps mais, en automne, les coeurs se séparent comme les feuilles des arbres. Or ce n'est pas toujours vrai, vous pourriez pleurer à Noel, quand les autres fêtent & tomber amoureux au seuil de l'hiver.
Quant aux mots manquants, vous n'êtes pas le seul à qui cela arrive. Je fais toujours relire mes textes par 1 tierce personne car, lorsqu'on a beaucoup travaillé sur 1 projet, on le connaît tellement par coeur, qu'on n'en voit + les défauts. Or le correcteur orthographique du traitement de texte ne voit pas tout.
Amicalement,
Florilange.