|
|
Donaldo75
21/10/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
|
Je n'ai pas été emballé par le récit. La rédaction ne m'a pas embarqué dans l'histoire dont le pitch me semble manquer de consistance pour être suffisamment autoporteur. Fallait-il développer ? Je ne sais pas. Il me semble plutôt que plus de relief amènerait le ressort narratif à dépasser le cadre relaté, à rendre les dialogues plus impactants dans la trame d'ensemble.
|
Dameer
10/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Hello MEGALAC,
Rencontre entre 2 mondes, 2 modes de vie, un "parisien" chez les campagnards. Tout ça est joliment décrit. Maupassant en son temps faisait des récits de ce genre, déjà (souvent situés en Corse) ! Curieusement, il y a toujours la soupe au repas du soir, c'est presque un cliché, de même que l'absence de lumière ou d'électricité. Le hasard sert cette rencontre, je comprends l'anxiété de ce citadin, qui remet son sort entre les mains de ses "sauveurs". Gilles passe une nuit d'angoisse, perturbé par les bruits de la campagne. S'il entendait des pattes courir sur son plancher, sous son lit, on comprendrait, mais là, non, au final tout s'est bien passé et le lecteur reste sur sa faim ! |
Cornelius
10/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Bonjour,
C'est une nouvelle agréable à lire mais qui aurait effectivement mérité une chute un peu plus inattendue. Ce texte m'a rappelé que j'ai vécu ce genre de mésaventure il y a quelques années. Mon véhicule n'était pas en panne mais nous cherchions un hébergement pour la nuit. C'était dans le même coin et je me souviens que nos hôtes d'un soir allaient manifester contre l'implantation d'éoliennes sur la Larzac. Il me semble aussi que nous avions eu droit à une soupe ce soir là. Finalement rien ne change sur le Larzac et ses irréductibles gaulois ! |
Cleamolettre
23/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
|
Bonjour,
J'ai bien aimé l'écriture, fluide, agréable et avec de l'humour. L'idée est amusante aussi, même si les textes sur le choc des cultures campagne citadins sont nombreux. Le personnage de Bernard joue avec les clichés et s'en amuse, sa femme aussi, ils ironisent sur ce Gilles des villes apeuré mais finalement bien confiant ai-je trouvé, pour aller ainsi dormir chez des inconnus loin de tout et sans téléphone. Pas trop le choix certes. Ce qui m'a manqué c'est du surprenant, les grands ducs oui, je ne m'y attendais pas, me demandant ce qui faisait le bruit nocturne, mais j'ai trouvé que ce n'était pas assez exploité, la peur, les interrogations, l'imagination qui s'emballe en pleine nuit et pense au pire, à l'improbable. Globalement j'ai regretté une mise en place plus longue que la suite, alors que si le contexte est nécessaire, il me semble que le plus intéressant était les interactions entre les personnages. |
Salima
6/4/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Bonjour,
J'ai bien aimé. Votre écriture a du cachet, un cachet qui me plaît. Le coup du trou duc m'a fait bien rire. Les personnages sont bien campés. C'est peut-être un peu idiot, mais le couple me rappelait un couple dans le Seigneur des anneaux, qui vit dans une forêt enchantée, j'ai oublié tous les noms à ma mauvaise habitude. Votre paysage et la maison m'ont fait rêver. J'y serais bien restée. Un aimable reproche : vous ne devriez jamais faire une énumération 1) 2) 3) etc dans une oeuvre littéraire. C'est bon pour les disserts et ouvrages techniques. "Alors que plongé dans le moteur, et que je tapote sur des trucs – au cas où ! –, une voix grave me fait sursauter et me cogner la tête au capot." Cette phrase est fausse. Il faudrait enlever le "et que" pour lui rendre son sens. |